Dernière ligne droite pour cette édition de Jazz à Vienne avec des GROSSES soirées en perspective.
Dès ce soir Yael Naim / Seal est complet.
Demain Barbara Hendricks avec le Magnus Lindgren quartet avec Kevin Mahoganny en première partie et un JazzMix qui risque d'être chaud avec Pierrick Pedron et Tigran Hamasyan !
Mercredi l'hommage à Nina SImone et le Mario Canonge trio et un pianiste à découvrir : Aaron Parks au Club de Minuit.
Pour jeudi ça sera : Wynton Marsalis and the Lincoln Center Jazz Orchestra précédé du Hervé Sellin tentet et Baptiste Trotignon au Club de Minuit
Et enfin la JazzMix night vendredi !
On dort quand ? ... samedi
Le croquis de François Robin
S.M.V.
Voir le site de François Robin
Un billet de Yves Dorison
Je vins incognito par la rive gauche du Rhône. Seul Mon Vélo dominical m'accompagnait pour aller écouter SMV. Moi qui avait sué dans la dernière ascension avant l'amphi (la pentecôte était raide), j'arrivais plus qu'un poil de cycliste en retard, pour être précis avec la voiture balai. Et là, je fus refroidi illico expresso. Sur scène, les bougres moulinaient si prestement qu'il me sembla les écouter tricoter à la chaine. Côté dérailleur, il y avait tout ce qu'il fallait pour monter les pires descentes de manche et dévaler les plus indécentes remontées. Fichtre me dis-je, voilà des sieurs aux doigts agiles ! aux mains d'argent (sûr que cela leur rapporte autre chose que des cals sur les phalanges). Sur le coup, le plus que je pus infirmer, c'est qu'ils ne mégotaient pas. Voire, ils nous enfumaient (attention : Décret n°2006-1386 du 15 novembre 2006). Clarke était à l'aise dans ses chaussures (c'est légendaire maintenant), Mais, je vous dépose la question : qui sait comment Victor et Marcus les souliers le long des kilomètres à pieds ?
Toujours est-il que l'ennui survint subrepticement, avec moins de légèreté que l'hirondelle sous le linteau. A trop tirer sur les cordes, ils faillirent me rompre l'échine. Doucement les basses, bourreaux ! Je ployais soudain sous une migraine si prématurément germée que je m'effondrai rapido-presto dans un Raul, tel le républicain espagnol Capa de bol. On me Midon sur une civière... Encore un cliché... et après un blackout passager, je demandai une blonde à une jeune personne du crû ( la dame aux camels, y a que ça de vrai) qui m'informa que Raul Midon n'avait rien à voir avec Rol Tanguy et qu'il était conséquemment inutile de résister. Quand elle vit mon étonnement, la viennoise rit aux larmes (Ô citoyenne..) et s'évanouit dans la foule (touante tiou). Moralité : à Vienne, si tu es presque mort, alité, tu n'as pas le fantôme d'une chance de finir autrement que baba, au rhum ou au rosé condamné.
Ce soir-là, nonobstant les épreuves, c'est l'ami mollet qui ramena à la maison le chroniqueur marri, imbibé et vermoulu, sur son vélo. Oh oui il le rêva solex ! Mais dura lex avec les poivrots. Et avec sa vieille selle en cuir de Russie, la perf' fut médiocre bien que sous cul tanné. In vino veritas mais fluctuat nec mergitur. Enfin presque.
La carte blanche à Tchen Nguyen
Danse avec le ventre (et avec SMV)
Le menu de la newsletter continue de s'emplir. La suggestion du jour concerne les "tripailles".
Je vous avais dit, au sujet des pianistes, que la musique s'écoute aussi avec le ventre : percussions, vrilles d'émotion, respiration qui ne vient pas que de la poitrine (apprenez à respirer avec le ventre, vous verrez dans les embouteillages......). Avec les guitares basses, c'est encore plus vrai.
Et avec SMV, on ne sait plus où donner du ventre.
Me reviennent foultitudes de saveurs. Les pieds et paquets de Provence, légère acidité de la tomate pour corriger, compléter, le goût délicieusement fort des tripes d'agneau. Bien sûr, notre gras double à lyonnaise, petit filet de vinaigre, oignons légèrement caramélisés. Aussi le tendre et craquant tablier de sapeur avec sa compagne la sauce gribiche, bien onctueuse. Les tripoux du Rouergue de derrière les fagots, d'origine naucelloise, cousus main et longtemps mijotées au vin blanc, ainsi que les inévitables tripes à la mode de Caen. Les Parisiens ne connaissent que ces triperies. Les pauvres atrophiés, élevés par "le Sot au piquet".
Je pourrais aussi vous parler des tripes frites du Cambodge. On en achète une (ou plusieurs) portion(s), et on va sur l'immense lac Tonle Sap. Petit bruit de rame. On savoure le tout, au soleil couchant comme ce soir, quand, avec SMV, une véritable mer intérieure vous envahit (un peu secouée quand même).
LE billet d'humeur de Tiboum
Chers amis lecteurs, festivaliers, astronautes de l'interconnexion, rebonjour ! Depuis l'an dernier (il me semble que c'était hier) pour ce seul et unique billet d'humeur pour ce festival Jazz à Vienne 2009.
Pourquoi un seul billet, me direz vous ? Il y a plusieurs raisons à cela.
Tout d'abord, le seigneur qu'il m'arrive parfois imaginer être ; a préféré, plutôt que de chevaucher vers les lointaines contrées du comtat de Vienne, laisser venir le festival sur son propre territoire: le royaune du 3ème arrondissement de Lyon et plus précisément en son donjon principal, le "crayon" où se niche en son sommet, l'auberge à cocktails du Radisson. Voir la suite du billet de Tiboum . . .
Le programme du lundi 6 juillet à 2009 à Vienne
Théâtre Antique :
- Seal
- Yaël Naim "hommage à Joni Mitchell" (Yaël Naim: voix, guitare ; Stéphane Belmondo: trompette ; Xavier Tribollet: claviers ; Eric Légnini: piano ; Laurent David: basse ; Dré Pallemaerts: batterie ; David Donatien: percussions)
Scène de Cybèle :
- Grolektif (16h00)
- Atelier création (17h30)
- Rencontr (19h00)
Club de Minuit :
- Nasheet Waits "Equality" feat. Stanley Cowell (23h30)
Jazz Mix :
- IG Culture's Zen Badizm workshop (00h30)
Place de l'Hôtel de Ville
- Déambulation de fanfare : No Water Please (18h00)
Grâce au partenariat que nous avons mis en place avec Jazz à Vienne, nous disposons de places à proposer à nos lecteurs pour les dernières soirées.
Afin de satisfaire le plus grand nombre , ces places sont à l'unité (et non des paires comme nous le faisons habituellement).
Pour les obtenir, c'est simple, il suffira de donner la bonne réponse à une question (facile) sur la soirée concernée.
Toutes les places dont nous disposions ont été allouées
Les improvisations picturales
Chaque jour deux peintres improvisent sur la musique de la scène de Cybèle (organisation: Solo-Sary)
2 tableaux composés lors du concert d'Incognita quartet
Les pérégrinations jazzistiques: retour sur les soirées viennoises
vu le lundi 29 juin 2009
Jason Lindner Big Band
Le Théâtre Antique de Vienne s'est enthousiasmé pour Jason Linder qui caractérisait son style avec une section de cuivres importante et des arrangements pas trop complexes à appréhender. Sa musique oscille entre du blues, de la salsa et du rythm n'blues pour l'essentiel.
A l'édition précédente de 2008 il se trouvait au Club de Minuit sur le tableau de bord d'un clavier électrique aux cotés de la saxophoniste et clarinettiste Anat Cohen. Depuis il a pris du galon et le voici à présent perché sur la grande scène antique, une vraie promotion !
Le concert débute selon des bonnes vibrations avec des salves de cuivres à vous réveiller tous les tropiques tropicaux. Mélodie Afro-Cubaine, Salsa sans démon, tout y est présent pour séduire des oreilles assujetties à cette coloration. Les Martinets poussent des cris de joie au dessus du plateau d'où émane cette pulsation latine.
Puis vient le temps des incursions d'univers variés, un melting-pot d'influences amphigouriques. Ce mélange finit par devenir assez inégal et ressemble au final à un petit fourre-tout cosmopolite qui répond à une mode bien établie. Cela lasse et à force de tirer sur la ficelle la corde s'use.
Les musiciens qui composent ce Big Band viennent de la Louisiane, de la Nouvelle-Orléans, de la Havane, ou de New York. D'ailleurs Jason Lindner affectionne cette ville qui lui permet d'ouvrir son esprit et de se confronter à de multiples nationalités. En même temps il ne souhaite pas trop s'étendre sur ses influences musicales issues de l'histoire du Jazz. Il dit s'imprégner de tout ce qui l'entoure. Chris Anderson lui a amené une certaine spiritualité par son impact musical. Ce qui a développé chez lui le sens de l'harmonie et lui à permis de travailler en profondeur les arrangements.
Sur le plan pianistique il n'a pas de mentor particulier. Il conçoit le clavier telle une percussion à dix doigts. Il restera relativement sobre au piano durant cette soirée, que ce soit auprès du classique que de l'électrique.
Nous attendions ce petit grain de folie "hispano-charnel" qui balaye tout sur son passage dans la chaude torpeur de l'été.
Marceau Brayard
Laurent Cugny Enormous Band
"Remembering Gil Evans, Lumiere and ONJ"
Je savais qu'il était capable de tout, mais alors là...On lui a laissé les clefs, il a installé son "Hors Normous Band" et il a appuyé sur le bouton...23 musiciens sur la scène de l'amphi, dont 15 cuivres, 2 Basses, 2 batteries, il a atomisé pratiquement 3500 spectateurs dont il restait de légères traces sur la pierre encore fumante. Depuis 30 ans que Laurent Cugny dirige des orchestres, un pan entier de la scène jazz française semble être, toutes générations confondues, passé dans les rangs de ses différentes formations.
Après la dissolution du big band Lumière en 2003 qu'il avait dirigé pendant 4 ans et avec lequel il avait commencé une fructueuse relation avec Gil Evans, c'est la première fois que Laurent Cugny revient en grand orchestre. Un très grand orchestre. Un Enormous Band qui présente même aujourd'hui toutes les caractéristiques d'un all-star du jazz français et européen.
C'est à un Work in Progress que Laurent Cugny nous convie, valorisant comme il se doit pour un héritier de Gil Evans les instruments comme le cor, le tuba et le synthé ; les alliages de timbre sont inouïs avec un style impressionniste fondé sur une grande sophistication harmonique ou prévalent des effets de volume et de profondeur. Au fil des arrangements ce véritable écrin sonore parvient à propulser les solistes de plus en plus loin en leur fournissant toutes les conditions d'une exceptionnelle liberté, avec toujours la présence du blues, sans négliger pour autant les couleurs latines.
Laurent Cugny n'a pas créé son Big Band pour faire de la musique, mais il compose de la musique pour faire jouer un orchestre.
Elie Beraha
(Laurent Cugny: direction et arrangement, clavier : Claude Egea, François Chassagnite, Flavio Boltro, Claus Stötter, Stéphane Belmondo: trompette ; Denis Barbier: flûte ; Benoît de Mesmay: clarinette ; Stefano di Battista, Thomas de Pourquery, Stéphane Guillaume, Thomas Savy, Pierre-Olivier Govin: saxophones ; Denis Leloup, Phil Abraham: trombone ; Jacques Peillon: cor ; Philippe Legris : tuba ; Frédéric Favarel: guitare ; Dominique di Piazza, Frédéric Monino: basse ; Stéphane Huchard: batterie ; Xavier Desandre-Navarre: percussions ; David Linx: vocal)
vu le mardi 30 juin 2009
Martial Solal invite 5 pianistes : Benjamin Moussay, Pierre de Bethmann, Franck Avitabile, Franck Amsallem et Manuel Rocheman
En première partie de soirée Martial Solal nous conviait à une petite curiosité que nous attendions avec impatience. Nous étions alors confrontées d'emblée à un monstre à six têtes. Celui-ci trônait devant nous avec six pianistes autour. En fait il s'agissait d'un assemblage de six pianos à queue, positionnés en V afin que l'on puisse bien identifier chacun des instrumentistes. Lorsque l'ensemble se met en mouvement, c'est une mécanique horlogère qui se déploie sous nos yeux. La structure musicale à un aspect très contemporain avec quelques passages qui ne renient pas l'idiome Jazz. Le volet thématique, de texture grandiloquente, revient après l'intervention d'un soliste. Ce dernier imprime son identité en faisant apparaître par son intervention sa note personnelle.
Chacune des improvisations s'effectuent en solo sans le soutien rythmique des frères Moutin.
Ils auront tous les deux un moment de totale liberté qu'ils exploiteront au maximum en donnant tout ce qu'ils savent faire de prouesses inventives.
Martial Solal possède cette désinvolture affable, soutenue par une verve humoristique et un sens ironique aigu. Sa musique c'est tout ça à la fois, avec une discontinuité rythmique, une recherche moderne dont les discours torrentiels restent contrôlés. Pour faire un bon pianiste il faut d'après lui trois choses incontournables : 1/ De la technique. 2/ De l'imagination. 3/ Un bon sens harmonique. Une fois ces fonctions acquises l'instrumentiste dispose de toutes les conditions requises pour lui permettre d'improviser les harmonies comme les notes avec le reflexe nécessaire.
Benjamin Moussay nous a expliqué comment s'était articulée cette expérience pour lui. Il a travaillé ce "Petit exercice pour 100 doigts" par le biais d'une maquette arrivée par internet. Tout ceci s'est fait dans la distance pour chacun. Il n'y a eu qu'un court temps de répétition, pour ajuster la synchronisation et décider de la prise de parole des six pianistes. L'appréhension demeurait très présente avant d'entrer en scène, car jouer devant ses pairs n'est pas courant dans ces conditions. Toutefois en leur présence il n'a senti que des regards bienveillants et ceci lui a ôté toute pression. Au moment de jouer il n'a pensé à rien et n'a pas cherché à faire de l'esbrouffe il a juste laissé les sons s'enchainer naturellement.
On a pu voir lors de son intervention qu'il paraissait très à l'aise. Débutant par des effets harmoniques, avant de relancer l'intensité en touchant les notes avec la paume de sa main, pour donner du rythme et de l'assise à son répertoire. Une fois cet effet obtenu il glissait sur des notes éphémères et rejoignait un style plus concertant. Le duo Moutin viendra couper cette parenthèse pianistique.
La durée de cette pièce fut de quarante cinq minutes. Il n'aurait pas été inutile de l'entendre une deuxième fois tellement les mouvements s'enchainaient promptement. Mais peut être en demandons-nous trop...
Marceau Brayard
Carte blanche à Martial Solal : Duo Martial Solal / Hank Jones
Depuis 1827, les pianos Bösendorfer ont été joués et admirés par les plus grands compositeurs et musiciens. D'une façon originale, ce facteur peut se vanter d'être le plus lent du monde : près de 4 ans pour construire ses pianos à queue, la moitié de ce délai étant requis pour le séchage du bois.
Et ce mardi 30 Juin, à l'occasion de cette rencontre inédite entre Martial Solal et Hank Jones, ce sont 2 Bösendorfer modèle 290, dit " Impérial ", modèle emblématique de la marque, puisqu'il comporte 97 touches au lieu des 88 présentes sur les pianos de concert normaux, qui sont disposés face à face sur la scène de l'amphithéâtre de Jazz à Vienne.
Les deux pianistes ont convenu de se rencontrer sur des standards, ce qui va simplifier le dialogue entre ces deux mythes vivants.
A ma gauche : Hank Jones 91 ans.
Toujours l'oeil pétillant de celui qui ne va pas tarder à faire une farce, impeccable (toujours) dans un costard très bien coupé, ce qu'il a perdu en vivacité il l'a gagné en sûreté de soi, avec un sens incroyable de la relation / séduction avec son public, il a été l'accompagnateur attitré de Ella Fitzgerald, il a joué avec Artie Shaw, Benny Goodman, en trio avec Ron Carter et Tony Williams, Eddie Gomez et Al Foster avec Jimmy Cobb et plus récemment (2005) sur l'album For My Father avec le bassiste George Mraz et le batteur Dennis Mackrel.
Hank Jones n'a plus rien à prouver mais il reste tout de même un incroyable musicien qui possède toujours ce jeu dépouillé au toucher cristallin qui sait rendre chaque accord important et qui ne cache pas son plaisir de croiser le fer avec son homologue français.
Et à ma droite : plus introverti, plus sérieux (apparemment tout du moins) Martial Solal 81 ans ;
Pianiste reconnu comme l'un des plus importants musicien de jazz à avoir émergé en France, comptant parmi les rares à avoir conquis l'admiration de ses homologues américains (Duke Ellington se fendit à son égard de compliments des plus élogieux), Martial Solal (alias "Jo Jaguar") a fait office de "parrain" pour toute une génération de pianistes, notamment au travers d'une émission radiophonique sur France Musique dans laquelle il invita les plus brillants représentants de ses jeunes confrères, dont certains reconnaissent son influence : Manuel Rocheman, Franck Avitabile, Franck Amsellem, Pierre de Bethman que l'on vient d'écouter en compagnie de leur maitre. La création par la Ville de Paris en 1998 d'un concours international de piano jazz portant son nom rend hommage à son talent, tout comme l'attribution en 1999 du Jazzpar Prize, le "prix Nobel" du jazz.
Sans parler de ses compositions pour le cinéma : "Deux hommes dans Manhattan", "Le testament d'Orphée", "A bout de souffle", "Léon Morin prêtre", "Echappement libre".
Dès les années 50, il se révèle un musicien original doublé d'un instrumentiste brillant mais il n'a jamais cessé de parfaire sa technique de pianiste, allant jusqu'à étudier, au cours des années 70, avec le concertiste classique Pierre Sancan. Ce pianiste superlatif, à l'articulation sans faille, jouant "au fond de la touche", sachant déployer toute la palette sonore de l'instrument et exploiter une remarquable indépendance des mains, met cette technique au service d'un talent d'improvisateur que l'on suppose sans limites : ruptures rythmiques, digressions harmoniques, inventions mélodiques inouïes se succèdent et s'entrecroisent dans une conjugaison, sans équivalent, de lucidité, d'imagination, de goût du risque et de sensibilité exacerbée - et non sans humour. Martial Solal est passé maître dans l'art de transfigurer les standards, il déploie avec une maîtrise époustouflante une approche exigeante de l'improvisation, basée sur le renouvellement permanent, sa virtuosité alimentant une imagination sur le qui-vive qui se refuse à la facilité ou aux clichés. Si l'on retrouve dans son jeu des échos du raffinement harmonique d'un Art Tatum ou un goût de la vitesse et de la netteté qui rappelle Bud Powell, force est de constater que Martial Solal se situe parmi les pianistes les plus remarquables par sa capacité à combiner spontanément une pensée féconde, une énonciation précise, le sens de la surprise et celui du risque, sans que l'abondance de ses idées n'infléchissent le swing ou ne le prive de son humour. Car aussi brillante puisse-t-elle paraître, notamment grâce à la clarté de l'articulation et au contrôle des dynamiques qui soulignent la verve de son inspiration, l'expression de Martial Solal ne se défait jamais d'une malice qui sait s'immiscer à bon escient au coeur des passages les plus abstraits - comme le signe d'une vigilance permanente qui l'empêche de se prendre au piège de la virtuosité.
Un duo de sorciers-magiciens qui restera dans nos souvenirs.
Magic Malik Orchestra invite Sanne Van Hek : un exercice capillotracté
Pour cette deuxième soirée du JazzMix, on tombe dans un jazz d'esthète dès lors que Magic Malik et son orchestre montent sur scène. On entrevoit le coté extravagant de l'artiste dès son entrée en scène. Affublé d'un gilet de sécurité jaune, les chaussettes remontée le plus haut possible, son entrée en piste parait improbable, tout comme le son qui s'échappe des enceintes.
Par sa flûte très aérienne telle une plume portée par la brise, Malik arrondit les angles d'une musique qui pourtant semble déjà bien lisse. Le pianiste Jozef Dumoulin, rarement avare de notes longues et appuyées participe grandement a l'atmosphère planante que le groupe ne cesse d'installer. Armé d'une basse à 6 cordes, ce qui reste assez rare pour être signalé, Jean Luc Lehr apporte quand a lui une rondeur bienvenue, plongeant l'auditeur dans une sorte de transe expérimentale que le percussionniste Maxime Zampieri affectionne particulièrement.
Au final, le Magic Malik orchestra instaure un climat suave propice à la spiritualité, un petit quelque chose de mystique qui invite a toute sorte de réflexion. Même si le rendu peut paraître déstructuré, aléatoire et improbable, Malik laisse ses musiciens voguer vers des mélodies inconnues jusque là.
Sa vision alternative de la musique nous plonge au coeur d'un film, celui d'un voyage a travers les limbes d'une jungle dense, ou encore vers un univers spacialo-alternatif, sorte de champ de bataille où viennent de s'affronter les forces du bien et du mal, comme dans une fameuse trilogie de science fiction des années 90. Ce n'est pas un hasard si le maître de cérémonie s'est retrouvé à la composition de la musique d'un long métrage.
L'entrée en scène de la guest star Sanne Van Hek n'apporte pas plus de clarté à l'ensemble. A l'unisson du flutiste solo, la trompettiste hollandaise s'approprie le répertoire de son compagnon de scène, cherchant souvent où placer la note juste. Loin de se soucier des frontières entre les différents styles musicaux, ce collectif erre dans un monde qui lui est propre, oscillant à loisir entre transe psychédélique, électro-jazz torturé et dub lancinant et intense.
L'expérimentation musicale constitue le point d'orgue de son travail musical, et ce n'est pas un hasard si son projet prend le nom de XPs. Iconoclaste à plus d'un titre, le Magic Malik Orchestra fait la part belle à l'improvisation, nous embarquant volontiers vers un voyage sinueux dans les méandres de son esprit, ce qui a au moins le mérite de faire travailler notre imagination. Après la prestation plutôt contemporaine des multiples pianos présents autour de M.Solal au théâtre antique, le jazz mix termine cette soirée sans rompre avec l'atmosphère de création unique qui se dégage de ce rardi soir à Vienne.
Claire Jalmain & Pascal Percie du Sert
Stéphane Guillaume Quartet au Club de Minuit
Tandis que sur les pierres du théâtre antique retentissaient les derniers accords de Martial Solal, quelques dizaines de personnes prenaient tranquillement place dans les premiers niveaux de la séduisante salle à l'italienne. Sideman inépuisable, Stéphane Guillaume donnait au public l'occasion de découvrir son propre quartet, entouré de Frédéric Favarel à la guitare, Marc Buronfosse à la contrebasse et Antoine Banville à la batterie. Tel Gulliver dans une maison de poupées, l'immense saxophoniste a littéralement habité la scène, imposé sa présence, mais aussi tout son talent de mélodiste.
Au fur et à mesure que la salle se remplit, la musique s'emballe. Stéphane Guillaume jongle avec une aisance déconcertante avec ses instruments, passant du ténor au soprano, puis du soprano à la flûte traversière en un tour de main. Les notes de Faravel et de Buronfosse s'envolent par gerbes entières, tandis que Banville, caché derrière ses cymbales, livre un remarquable (et très africain) solo de batterie. Entre chaque titre, Guillaume prend tout de même le temps de respirer un peu pour présenter ses compositions, les situant sur le précédant (Intra Muros) ou sur le prochain album, mettant ainsi l'eau à la bouche ou plutôt, la mélodie à l'oreille des auditeurs, lesquels devront attendre encore quelques temps avant la sortie de la future galette.
Sur le papier déjà, on savait que le Club de Minuit 2009 promettait de bien belles soirées, le quartet de Stéphane Guillaume n'a pas démenti ces prévisions.
Niko Rodamel
vu le mercredi 1er juillet 2009 à Vienne
David Sanborn
Musicien de la cote ouest, ayant collaboré avec les plus grands noms de la musique rock (Stevie Wonder et David Bowie), personnage central des studios d'enregistrement dans les années 70/80 (dans le courant de la musique californienne , Steely Dan , Michael Francks...) on associe souvent l'image de David Sanborn à celui d'un jazz commercial qualifié de "smooth jazz" courant ou il a laissé quelques albums majeurs comme "Straight to the heart"ou "Hideaway".
On l'a croisé à Vienne en 1997 dans le super groupe "Legends" qui n'a duré que le temps d'un été et de quelques festivals au coté d'Eric Clapton, Steve Gadd, Marcus Miller & Joe Sample... Ce sont des musiciens que l'on retrouve pour la plupart comme invités dans son dernier projet en 2008 "Here & Gone" ou il rend un hommage appuyé au courant soul et rhythm'n'blues de la grande époque Ray Charles et de son saxophoniste fétiche Hank Crawford.
C'est exactement dans cet état d'esprit qu'il se présente ce soir à Vienne revendiquant son retour vers le jazz et le blues façon Ray Charles y compris à travers la présence de trois cuivres dans sa formation. Très vite d'ailleurs on retrouve la composition de Marcus Miller hommage à Ray Charles "Brother Ray", on revisite ensuite le standard de WC Handy "St Louis Blues" et "Please send me someone to love" de Percy Mayfield.
Le groupe fonctionne parfaitement autour de l'orgue bluesy de Ricky Peterson , d'interventions très appuyées de la guitare de Nicky Moroch ,d'une rythmique stimulée par la batterie de Gene Lake avec au dessus de l'ensemble les belles envolées de David Sanborn dont le sax alto sonne plutôt comme un ténor. Après une courte citation de "Hit the road jack", toujours Ray Charles, on passe au thème balade de Charlie Chaplin "Smile" que David Sanborn aime régulièrement reprendre peut être pour se rappeler qu'il a aussi beaucoup contribué à des musiques de film !
Retour au standard avec "Basin street blues" et on est déjà au rappel final avec "I've got new for you" dominé par la voix et l'orgue de Ricky Peterson comme un vieux tube soul de la grande période Stax et finalement le seul titre entièrement chanté du set.
Soixante quinze minutes sans surprise, ni prise de risques mais qu'on écoute toujours avec plaisir pour ce son de sax caractéristique, velours et caresses pour les oreilles avec cette fois en plus quelques standards soul-jazz inusables et parfaitement mis en valeur.
Gérard Brunel
(David Sanborn: alto sax ; Nicky Moroch, Mike Poppe : guitare ; Ricky Peterson: claviers ; Richard Paterson: basse ; Gene Lake: batterie ; Martin Jacobsen: sax ténor)
Chaka Khan't !
Après la très bonne prestation de David Sanborn, j'attendais d'une tête d'affiche le panache d'une diva. On a tous vu la diva, mais où étais donc le panache ?
On connaît surtout Chaka Khan de la période où elle chantait dans Rufus, groupe funk aux nombreux succès disco comme Tell me something good, ain't nobody ... Ainsi, le public averti de ce soir s'attendait sûrement à un petit côté groove, une touche de soul, peut-être même du dance hall suite à son tube avec Shaggy : Get my party on. Bref, à tout de la part de cet électron libre à la coiffure ventilo-pulsée !
Mais celle qui se dit "la lionne" a repris ce soir des grands standards, de Thelonious Monk à Chet Baker, qu'elle avait déjà exploré sur ses albums ClassiKhan et Waiting to exhale. Partant de ce principe, j'aurais grandement apprécié de sa part un travail quelque peu plus approfondi, sans pupitre comme roue de secours.
N'ayant pas été aussi prévoyante que François (Robin) dans l'équipement intra-auriculaire, j'ai pu jouir pleinement des vibratos de la belle, et surtout, des longues et stridentes notes aiguës qu'elle affectionne tout particulièrement.
Heureusement le George Duke trio ne demandait qu'à libérer tout le blues qu'ils gardaient en eux, une bonne dose d'énergie et de groove mais surtout 20 minutes de répit (temps qu'il a fallu à la belle pour changer de tenue) et de plaisir dans ce set en demi-teinte. Où je me demande finalement qui invitait qui !?
Miss-Chaka-Khan-à-la-chevelure-de-feu s'est offert le luxe de Vienne mais en cette période de soldes, la saveur reste bien fade !
Claire Jalmain
Nostalgia 77 invite Lizzy Parks
Fraîchement débarqué de Londres, la nouvelle étoile montante des fameuses "Jam Session" Londoniennes Nostalgia 77 invite la chanteuse Lizzy Parks. Pourtant coutumier du fait, il nous propose ici un show dénué de toutes fioritures électroniques, laissant son amour du funk dériver vers le "jazz cérébral".
Du jazz, il récupère l'aspect mélodique et les cuivres puissants. Du funk, il s'approprie les riffs de guitare répétitifs, les claquements de basse et le clavier énergisant. La mise en scène de ce mélange vieux comme le monde produit une musique douce et entraînante, sans plus. Ne tombant jamais dans les excès, Nostalgia 77 assume pleinement le style Nu-jazz.
Accompagné de 6 musiciens, Nostalgia 77 (Benedic Lambin pour les intimes) fait la part belle au douces mélodies et autres rythmiques purement jazzy. Cuivrés comme il se doit, les morceaux s'enchaînent sans que l'on s'en rende réellement compte alors que l'heure avance. Pour sûr, ce collectif ne compte pas son temps de scène et c'est tant mieux.
Sur ces mélodies suaves vient se greffer Lizzy Parks ; soliste à la voix aussi douce que la musique qui lui est offerte ; elle amène un soupçon d'âme à ce mélange assez cérébral. Dommage cependant que ses chansons ne soient pas plus présentes, elle cherche un peu trop les moments où poser ses vocalises sur certains morceaux.
Et c'est peut être la le plus gros point faible de ce concert. Sortant rarement des sentiers battus, on fini par se lasser de ce concert sans véritable relief. Par un manque flagrant d'ambition, le collectif passe à coté de quelque chose d'intéressant. On cherche encore ce petit plus qui différencie les agréables moments des instants inoubliables. Ne boudons pas notre plaisir pour autant, leur prestation suffit largement à oublier les élucubrations de Chaka Kahn au théâtre antique.
Pascal Percie du Sert
Photo © Albin Durand
vu le jeudi 2 juillet 2009 à Vienne
Roy Hargrove, son Big Band et son invitée de charme Roberta Gambarini
Lors de son passage à Grenoble, Roy Hargrove nous avait déjà mis l'eau à la bouche en nous annonçant sa soirée carte blanche à Vienne. En première partie de soirée, il a ainsi présenté son projet big band, offrant au public un jazz traditionnel, cru et sensible.
Les premières impressions sont souvent les bonnes: dès la première note, on entend un jazz ancré dans le swing, un son énorme, et Roy Hargrove installe immédiatement son climat, tantôt doux et sobre, tantôt titanesque par la force de ses gestes et de son interprétation. Avec l'arrivée de la magnifique Roberta Gambarini sur scène, l'ensemble attaque un calyspo enflammé et là on comprend que le big band de Roy Hargrove n'est pas là pour rigoler. Elle séduit autant par son scat libre et lyrique, de style très bop, que par son son style sur scène qui émoustille la gente masculine. On assiste à de très belles versions chantées par M. Hargrove lui-même (d'ailleurs très à l'aise dans ce rôle), notamment le standard de Broadway, "September in The Rain". De Duke à Dizzy en passant par Count Basie, on retrouve tous les éléments qui ont contribué à l'éducation du jeune trompettiste (cf. l'interview de Roy Hargrove publiée le 30.3.09): le rendu est géant et convaincant. Le public en redemande: M. Hargrove nous surpendra une fois de plus, prenant le public à contrepied dans une magnifique interprétation de la ballade "My Funny Valentine", choix de bis improbable.
Après un hommage rendu à ses idoles dans l'esprit du swing et de la tradition à travers un set divers et cohérent, Roy et son RH Factor viennent livrer un hommage à la musique populaire américaine des années 70s, la funk et la soul, tout aussi gigantesque.
Philippe maniez
Le RH Factor invite MC Solaar
Roy Hargrove RH Factor invitait MC Solaar en deuxième partie, ainsi que la pluie qui venait faire des claquettes dès le début du concert.
Malgré tout, le mélange Jazz, funk, Hip Hop et soul, réchaufferont l'atmosphère.
Les premières rimes balancent avec une invraisemblable boulimie rythmique. Notre rappeur national sème sa poésie en la faisant germer avec le groove endiablé des musiciens placés sous le regard du maître d'oeuvre et de sa trompette élégante. Tout commence avec un bon soul qui ne vous explose pas les oreilles. Cette justesse du son nous montre la subtilité dans ce Rap là, avec aplomb et sans faute de gout.
MC Solaar scande ses textes sur des passages instrumentaux. Il annonce rapidement la couleur et débute son apparition avec, "Je préfère l'intellect à la haine...".
Il ne restera pas longtemps sur scène et Roy Hargrove finira son show sans lui et sans nous puisque nous irons demander à "ce chanteur de mots", comme se plaisait à le nommer Claude Nougaro, ses motivations personnelles face à ce projet. Il nous expliquera que la rencontre avec le trompettiste s'est faite grâce à François Lacharme président de l'Académie du Jazz, éditeur du mensuel Jazzman (qu'il a d'ailleurs fondé en 1992) et programmateur Jazz au Théâtre du Châtelet ; il est à l'origine du projet qu'il a souhaité voir se concrétiser entre les deux artistes.
Pour sa part il se sent proche d'une certaine forme de Jazz et ses attirances vont plutôt vers David Sanborn, Roy Ayers. Ce qui lui plait dans le Jazz c'est la liberté de cette musique et sa capacité d'improvisation. Il lui semble qu'avec cette démarche c'est "le retour de l'égo et de l'héros".
Toujours est-il que durant cette soirée on a accouché d'un style qui décloisonne les chapelles du Jazz, du Rap, du Swing et du Groove.
Yosvany Terry au Club de Minuit
La soirée ayant été gâchée en partie par la pluie au théâtre antique un repli stratégique de circonstance s'imposait et le Club de Minuit était tout prêt à nous recevoir.
Surtout qu'une intrigue nous y attendait. Le saxophoniste de Gonzalo Rubalcaba qui joue avec lui en quintet sur toute la planète et lorsqu'il le peut tourne aussi avec Eddie Palmieri, rien que ça ! Il n'était pas un inconnu pour nous, puisque nous l'avions vu trois jours auparavant en position assise dans le Big Band de Jason Lindner. A voir ce Curriculum Vitae on piétinait d'impatience. Dès les premières mesures on constate que les dieux sont parmi nous. La magie opère en état de grâces. Les quatre instruments sont bien habités et leurs propriétaires en jouent pleinement. Yosvany Terry au saxophone alto amorce un pas de danse en jouant et sa musique enveloppe son corps toute la soirée. Natif de Cuba il a été initié très jeune à la musique et a obtenu une bonne notoriété à La Havane. Il finit par débarquer à New York en 1999 et se fait rapidement remarquer par Steve Coleman.
Il dispose d'un beau son qu'il fait éclater dans ses improvisations en pratiquant un mariage savamment dosé entre les rythmes caribéens et un Jazz de haute voltige qui persiste à nous tenir en haleine jusqu'à la fin. Le quartet résonne en osmose extatique.
A la contrebasse il y a son frère Yunior Terry qui construit des instantanéités miraculeuses.
Le pianiste Osmany Parades dont le style mélange le jazz et son héritage afro-cubain rythmique en utilisant une technique tirée des années d'enseignement classique. Il percute les touches de façon à imprimer la cadence lors de ses improvisations qui aboutissent souvent vers de fulgurantes accélérations.
A la batterie Ernesto Simpson pratique des irruptions massives à la manière d'un percussionniste qui vous transperce par sa vitalité sismique. Il pullule d'ingéniosités en maintenant constamment l'enroulement sous tension afro-latine. Le Jazz s'entrelace dans toute cette densité culturelle dont les friches s'entremêlent avec lui.
Ce fut un gros cout de coeur qui se terminera à 1H45 du matin, en compagnie d'une quarantaine de spectateurs conquis par ce prodigieux Yosvany Terry.
Une image survit encore après son concert, telles ces étoiles éteintes et dont la lumière nous parvient encore longtemps après leurs extinctions.
Marceau Brayard
Ku-Umba Franck Lacy, The electric sound of Freddie Hubbard
Une voix de crooner, un look tout droit sorti d'un film de Tarentino, un son gras, lourd mais libre ; voilà ce qui caractérise le tromboniste Franck Lacy. Avec ces copains de scène, il nous propose un hommage à leur compatriote Freddie Hubbard décédé l'an passé. Plus précisément, c'est à la période CTI/Columbia (70's) qu'ils se référent se soir, la plus groovy qui soit.
A la manière d'un bluesman, en bon survivant des périodes hippies, sa voix lourde d'histoire suffit pour remplir le jazz mix d'une ambiance chaleureuse. Pour cet hommage émouvant, certains musiciens de Roy Hargrove sont descendus du Théâtre antique, on pourrait largement confondre ce concert avec un boeuf entre amis.
Dans une sorte d'immense Jam Session, ces musiciens supercarrés n'hésitent pas à lancer de multiples improvisations sur les thèmes de leur illustre ami. A la force du coeur, ils se lâchent sans arrière pensée, allonger les morceaux jusqu'à jouer 30 minutes sur la même mélodie semble les satisfaire. Les mélodies les plus groovy de Freddie Hubbard servent à chaque fois de piste de décollage a toutes sortes d'envolées musicales des plus techniques, chaque musiciens employant tout son talent pour redonner vie a sa musique.
Par la puissance, la justesse des notes et l'énergie dont ils font preuve sur scène, on sent rapidement que cet hommage vient du coeur. A l'époque, en compagnie notamment de David Murray et McCoy Tyner, ils mettaient en musique la révolution noire américaine avec une verve revendicative sans équivalent aujourd'hui. Un passé qui fait vibrer la corde sensible.
Ce concert se transforme finalement en véritable retour aux valeurs qui ont fait les plus belles heures du groove. Franck Lacy ne pouvait pas rendre un hommage plus juste à son ami Freddie Hubbard. En faisant honneur au feeling, Frank Lacy laisse vibrer son coeur en se remémorant ce qui a fait la force de leurs succès au sein des Jazz Messengers. Cette réunion entre amis nous rappelle s'il était nécessaire que dans le jazz, l'émotion prime souvent sur la technique.
Pascal Percie du Sert
vu le vendredi 3 juillet 2009 à Vienne
Brian Jackson alias Funkyman
Le jazz mix est plein à craquer la chaleur humaine se transforme en fournaise. Pour accompagner les âmes brûlantes sur le dancefloor, Brian Jackson. D'un funk puissant à une soul plus lancinante, il propose un son plaisant, qui ne parvient pas à déchaîner les passions.
Le concert commence sur des airs "cabaret", où le piano est largement mis à l'honneur tandis que la guitare se fait répétitive. Puis, à la force de son Fender Rhodes, Brian Jackson emmène le public vers des contrées musicales qu'il connaît bien, celle du soul et de la funk. Le pianiste-compositeur, qui a aussi tourné avec Kool and the Gang et George Benson, ne pensait pas qu'il lui faudrait autant d'années pour sortir son premier album solo, lui qui a connu ses heures de gloires entre 1970 et 1990. Les recettes pour faire danser le public, il les connaît sur le bout des doigts.
Des projets avec certains rappeurs aux concerts plus jazzy, il n'a jamais cessé de perfectionner son art, même pendant sa "traversé du désert". Cela se sent dans son interprétation : au milieu des titres mielleux comme "Now I'm feeling you" se glisse des mesures plus rythmées, plus formatées, un comble pour celui qui luttait a l'époque contre les titres disco réputés sans saveur.
A la tête de son quartet, il est le seul à tenter quelques écarts. Loin de manquer de maîtrise, Phil Wilkinson (bassz), Caspar St.Charles (batterie) ne semble pas affectionner ce type d'improvisation. Seul Dave Wilkinson (guitare) s'aventure à accompagner le maître de cérémonie. Conséquence logique, bien que Brian assure aussi bien les envolées au piano que le chant, le background musical ne prend que peu de place.
Un petit reproche qui ne dénature pas pour autant le bon rendu de ce concert. Le résultat est efficace. Le public ne s'y trompe pas et encourage les musiciens à poursuivre encore et encore. On ne se soucie plus de l'heure tardive, on apprécie la musique tout en discutant, avec le ciel étoilé pour seul toit.... Pour une première en tête d'affiche en France, Brian Jackson peut être fier de sa prestation.
Pascal Percie du Sert
vu le samedi 4 juillet 2009
La nuit du blues
Jean-Jacques Mlteau "Soul Conversation"
Cette Nuit du blues a démarré en beauté avec celui que tout le monde qualifie sans conteste de plus grand harmoniciste de blues français.
Dans le cadre de son dernier album : "Soul Conversation" JJ Milteau nous a emmené en voyage, en compagnie de deux chanteurs exceptionnels : Michael Robinson et Ron Smith, le long des rivages du Sud profond et du Folk/Soul qu'il affectionne tout particulièrement.
Un concert tout en finesse, émaillé de commentaires didactiques et plein d'humour ou l'harmo de J-J se fait parfois discret tout en étant présent de manière très légère.
JJ Milteau nous l'explique : "Plus que pour briller, l'instrument est là pour dialoguer, illustrer, conforter, titiller, relayer, créer un décor propice à l'expression du chant."
Et c'est non seulement son harmonica mais aussi tous les instruments qui deviennent les interlocuteurs des deux voix masculines suaves, chaudes, colorées et lumineuses de Ron Smyth et Michael Robinson, qui se partagent le chant de manière incroyablement harmonieuse et fusionnelle (comme dans "It's So Real", composition signée Micheal Robinson / Manu Galvin).
Cela dit, les amateurs d'instrumentaux n'étaient pas oubliés, le duo Milteau-Galvin alignant entre autres deux superbes titres: un "Wooosh !" tendre et rageur à la fois, comme pour bien positionner le concert en orbite, et un excellent "Hole In The Wall (Burger n' Blues)" qui venait donner une intense luminosité bleue au coeur d'un répertoire ou les titres rock et folk deviennent de fascinantes contrées musicales soul, comme en témoigne cette version bourrée d'émotion de "Long Time Gone" de David Crosby, et cette monumentale adaptation du "You Can't Get Always What You Want" signée Jagger-Richards, qui nous oblige à réécouter la version des Stones pour bien comprendre le "miracle" musical réussi ici par Jean-Jacques Milteau & Co.
Les premières musiques que Milteau, né en 1950, a écoutées chantaient l'espoir de lendemains meilleurs. Le rock, surtout.
2009, les choses n'ont pas tant changées que ça, JJ Milteau persiste à croire en un monde meilleur et ce sont de quelques étincelles de cet univers auquel il croit, qu'il nous a gratifié ce soir.
Elie Beraha
Joe Louis Walker & Lucky Peterson: "minimum et maximum avec dénominateur commun le blues !"
Joe Louis Walker a beaucoup contribué à apporter au blues un nouveau public dans les années 80. Avec son blues fortement teinté de soul cuivrée et chaleureux. Après quelques années d'absence, il est revenu au premier plan fin 2008 avec l'album "Witness to the blues" cité dans tous les référendums musicaux et considéré comme une totale réussite.
C'est sur la lancée de cette renaissance qu'il se présente à Vienne avec un quintet de tournée, certes bien rodée, mais ne permettant pas de restituer toutes les finesses des arrangements de Duke Robillard.
On commence avec un blues au tempo rapide, reprise du bluesman californien JJ Malone "It's a shame" avec larges nappes de Hammond et solo de guitare. C'est le style caractéristique de JL Walker qu'on retrouvera plus tard sur "I got what you need" et "Keep on believin" mais, ici en live, amputés des arrangements acoustiques, l'accent est mis essentiellement sur l'énergie et pas assez sur les nuances.
Le plus souvent, on se complait dans le style "Chicago blues" et "boogie" avec des thèmes comme "Hustlin'" ; "Rollin' & Tumblin'" ou on assiste certes à de belles confrontations de guitares entre Joe Louis Walker et son guitariste, Linwood Taylor.
Au final on reste un peu trop dans le service minimum et les poncifs du genre y compris avec la "balade" en harmonica au milieu des spectateurs du théâtre antique qui produit toujours son effet.
En rappel, Joe Louis Walker revient seul avec sa guitare pour un chant gospel serein "not tired"... ; on aurait voulu plus de moment chaleureux comme celui là !
A la sortie de son coffret "Organ soul sessions", Lucky Peterson a proclamé dans toutes ses interviews "je suis connu en tant que guitariste, mais mon instrument c'est le Hammond B3 , l'orgue noir, the Beast !"
C'est donc principalement à l'orgue que Lucky Peterson nous revient non seulement dans un costume de bluesman mais aussi dans celui d'un authentique jazzman sous influence Lonnie Smith, Jimmy Smith et Jack McDuff. Le répertoire puise largement dans ce soul jazz Blue Note, le plus souvent en instrumental avec les thèmes "Cantaloupe Island" ; "Song for my father" ; "Mercy, mercy, mercy" avec un accompagnement ronflant de Bill Eden au sax. Sur d'autres compositions, Lucky Peterson solidement collé derrière son orgue s'aide également de la voix comme par exemple sur le très réussi "I can't stand the rain".
Après 80 minutes, changement complet de registre, Lucky Peterson vient s'installer assis sur le devant de la scène pour deux grands classiques dans la plus pure tradition Chicago "I got my mojo working" de Muddy Waters et "Sweet Home Chicago" de Robert Johnson . Juste de quoi emporter l'adhésion des réfractaires à l'orgue Hammond et de faire rugir de plaisir tous les rangs serrés du théâtre antique.
On approche des deux heures de concert quand Lucky Peterson revient à l'orgue pour un hommage endiablé à James Brown autour d' un "Sex Machine" torride avec les complicités vocales de Ron Smyth et de Joe Louis Walker. Notre organiste très en verve conclue également son set sur des accents gospels avec un "Oh Happy days" qui fait se lever et danser tout l'amphithéâtre.
Au final, un concert qui ne cède pas à l'uniformité (jazz, soul, funk, blues...sont au rendez vous) et surtout d'une extraordinaire générosité (2h20mn).
Gérard Brunel
(Joe Louis Walker : vocal, guitare ; Ellis Blacknell: claviers ; Linwood Taylor: guitare ; Henry Oden: basse; Steve Eldridge: batterie)
(Lucky Peterson: vocal, Hammond B3,guitare ; Bill Eden: sax ; Jamel Rahman Byron: batterie + rhythm guitar)
Jazzanova Live Band feat. Paul Randolf : Le jazz version boite de nuit
Jazzanova, c'est avant tout un collectif d'artistes berlinois : huit musiciens sur scène, sans compter le VJ (Vidéo-DJ). Ce groupe berlinois débarque les mains pleines d'électronique pour mettre au goût du jour les standards du jazz et de la Funk. Adepte de musiques "Lounge", ils dégénèrent trop souvent en techno simpliste et indigeste.
Ne pouvant se déterminer entre les mélodies saccadés du funk, la douceur de la soul et les répétitions rythmiques de la techno, ils imposent avec facilité un son puissant et efficace pour mettre en mouvement le jazz mix. Sur le "dancefloor", on assiste alors à de véritables spectacles de danse, aux mouvements improbables et spasmodiques.
Très sérieux dans leur manière d'aborder ce concert - ils ont terminé la balance seulement dix minutes avant le début des festivités, les allemands invitent pour l'occasion le chanteur et bassiste Paul Randolf. Energique et très funky, il porte à bout de bras les morceaux, nous gratifiant d'une voix funk digne des années 80. Secondé par Clara Hill, les parties vocales assurent à elle seules une grande partie du succès du concert.
Semblant jouer pour un enregistrement en studio, cette nébuleuse allemande prouve que les bonnes critiques dont elle bénéficie régulièrement ne sont pas usurpées. Cependant, le recours systématique à l'électronique fait tomber le groupe dans la facilité. La techno la plus basique gâche franchement la bonne ambiance qui s'était installé pendant les titres plus soul. Fier du son présenté, ils semblent assumer pleinement cette dérive vers des répétitions à outrance de boucles minimales qui finissent par devenir pénible.
Apte à faire danser toutes personnes un peu échaudé, la prestation de Jazzanova Live Band rempli néanmoins amplement son office. Cette programmation peut même paraître judicieuse en ce samedi soir où l'accent est forcément mis sur le coté festif. Dommage donc qu'ils privilégient les grosses sonorités électroniques aux affres du jazz et de la soul.
Pascal Percie du Sert
vu le dimanche 5 juillet 2009
S.M.V.
Soirée sans grandes surprises avec Stanley Clark, Marcus Miller et Victor Wooten. Trois bassistes qui électrisent un théâtre antique plein à craquer. Un véritable concours de basses s'engage sur le ring. Ils se répondent mutuellement par un système funky en faisant slapper leurs instruments.
Marcus a étudié la clarinette au conservatoire, du coup ce soir il nous montre qu'il n'a rien oublié de cet instrument. Il joue "Tutu" sa composition que Miles Davis avait enregistrée dans l'album portant le même nom. Cette parenthèse permet de traverser un peu de douceur.
Stanley Clark jouera à la contrebasse une composition de Marcus Miller s'intitulant "Milano". Il débute avec l'archet, mais impossible pour lui de ne pas balayer les cordes avec forces et déterminations, pour n'en rechercher que l'effet du fracas.
Victor Wooten a effectué un flamenco en guise de solo, nous montrant aussi qu'il pouvait être un bassiste de choc, avec des arpèges violents administrés à son cordage métallique.
Un petit regret de ne pas avoir entendu une composition de Jaco Pastorius, "Teen Town" par exemple. Puisque ce bassiste a beaucoup apporté à cet instrument et a démontré qu'il pouvait être utilisé pour des interprétations de premier plan.
Nos trois vedettes ont privilégié les thèmes de leur album "Thunder", qui les réunit sous l'appellation "S.M.V.". Le public fut très réactif tout au long de cette soirée, en claquant des mains pour marquer le rythme dès que le funk prenait le dessus.
Constatant la capacité énergétique dépensée, on se dit qu'avec eux les centrales nucléaires ont de beaux jours devant elles.
Marceau Brayard
La galerie de photos de Jazz-Rhone-Alpes.com
Des concerts de la première semaine de Jazz à Vienne vus essentiellement par Laurent Peix et Niko Rodamel
Carte blanche à Martial Solal ; Stéphane Guillaume quartet ; Roy Hargrove Big Band et RH Factor ; Nuit du Blues ; S.M.V.
(Les photos publiées ici ne sont pas libres de droit et appartiennent à leurs auteurs qui seuls peuvent vous accorder un droit de reproduction. Si vous souhaitez en utiliser une ou plusieurs, prendre contact avec la rédaction de Jazz-Rhone-Alpes.com)
Agenda
Tous les concerts (ou presque) de jazz de la région Rhône-Alpes
lundi 6 juillet 2009
-
Jazz à Vienne: (voir le site)
- Théâtre Antique :
- Seal
- Yaël Naim "hommage à Joni Mitchell" (Yaël Naim: voix, guitare ; Stéphane Belmondo: trompette ; Xavier Tribollet: claviers ; Eric Légnini: piano ; Laurent David: basse ; Dré Pallemaerts: batterie ; David Donatien: percussions)
- Scène de Cybèle :
- Grolektif (16h00)
- Atelier création (17h30)
- Rencontr (19h00)
- Club de Minuit : Nasheet Waits "Equality" feat. Stanley Cowell (23h30)
- Jazz Mix : IG Culture's Zen Badizm workshop (00h30)
- Place de l'Hôtel de Ville (18h00) : Déambulation de fanfare : No Water Please
- Théâtre Antique :
- Nuits de Fourvière (69005 Lyon): Herbie Hancock & Lang Lang avec l'Orchestre national de Lyon (première en France) (concert à 21h30 ; Théâtre romain de Fourvière ; 30€ / 35 € COMPLET ; voir le site)
-
Péristyle (69001 Lyon): Oxyd (Lauréat REZZO 2008) (Alexandre Herer: Rhodes ; Olivier Laisney: trompette ; Julien Pontvianne: saxophone soprano ; Matteo Bortone: basse ; Thibault Perriard: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mardi 7 juillet 2009
- Jazz à Vienne: (voir le site)
- Théâtre Antique :
- Barbara Hendricks and the Magnus Lindgren quartet: "Barbara sings the blues" (Barbara Hendricks: voix ; Magnus Lindgren: sax, clarientte, flûte ; Mathias Algotsson: piano ; Fredrik Jonsson: basse ; Jonas Olgersson: batterie)
- Kevin Mahogany's "Kansas City Revue" and the Godfathers of Groove (Kevin Mahogany: voix ; Red Holloway: sax ténor ; Kathy Kosins: voix ; Thes Godfather of Groove: Grant Green Jr.: guitare ; Reuben Wilson: Hammond B3 ; Bernard Purdie: batterie)
- Scène de Cybèle :
- Big Band de Savoie (16h00)
- Jazz School Berkley Big Band (17h30)
- Big Band du CNR (19h00)
- Club de Minuit : Esperanza Spalding (23h30)
- Jazz Mix : Pedron "Omry" Vs Tigran "Red Hail" in a jazz punk way of life (00h30)
- Ciel de Lyon "Radisson" : Blinks (19h00 ; renseignements: 04 78 63 55 00)
- Place de l'Hôtel de Ville (18h00) : Déambulation de fanfare : Nucleus New Orleans Jazz Marching Band
- Théâtre Antique :
- Péristyle (69001 Lyon): Traviata SongBook: Variations sur le thème de Traviata de Verdi (Nicolas Bianco: composition, contrebasse ; Rémi Poulakis: voix/accordéon ; Michael Castrichini: saxophones ; Antoine Bost: saxophones ; Carine Bianco: piano ; Sébastien Mourant: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Friche RVI (69003 Lyon): ICSIS (Jessica Martin Maresco: chant ; Benoît Richou: guitare,chant ; Alice Perret: clavier ; Guilhem Meier: batterie,chant ; Brice Berrerd: contrebasse) (concert à 23h00 ; 84 avenue Lacassagne 69003 Lyon ; entrée libre)
mercredi 8 juillet 2009
- Jazz à Vienne: (voir le site)
- Théâtre Antique : Hommage à Nina Simone
- "Sing the truth" avec Dianne Reeves, Liz Wright, Angélique Kidjo & Simone
- Mario Canonge trio (Mario Canoge: piano ; Linley Marthe: basse ; Chandler Sarjoe: batterie)
- Scène de Cybèle :
- Big Band de l'ENM Villeurbanne (16h00)
- Glenelg Jazz Ensemble (17h30)
- The Truro College Jazz Band (19h00)
- Club de Minuit : Aaron Parks trio (23h30)
- Jazz Mix : Don Blackman (00h30)
- Place de l'Hôtel de Ville (18h00) : Déambulation de fanfare : Nucleus New Orleans Jazz Marching Band
- Théâtre Antique : Hommage à Nina Simone
- Péristyle (69001 Lyon): Oxyd (Lauréat REZZO 2008) (Alexandre Herer: Rhodes ; Olivier Laisney: trompette ; Julien Pontvianne: saxophone soprano ; Matteo Bortone: basse ; Thibault Perriard: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Jam Session (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
- Friche RVI (69003 Lyon): ICSIS (Jessica Martin Maresco: chant ; Benoît Richou: guitare,chant ; Alice Perret: clavier ; Guilhem Meier: batterie,chant ; Brice Berrerd: contrebasse) (concert à 23h00 ; 84 avenue Lacassagne 69003 Lyon ; entrée libre)
jeudi 9 juillet 2009
- Jazz à Vienne: (voir le site)
- Théâtre Antique :
- Wynton Marsalis and the Lincoln Center Jazz Orchestra (Wynton Marsalis: trompette, direction ; Sean Jones, Marcus rintus, Ryan Kisor: trompette ; Walter Blanding, Sherman Irby, Ted Nash, Victor Goines, Joe Temperley: sax ; Vincnet Gardner, Chris Grenshaw, Elliot Mason: trombone ; Dan Nimmer: piano ; Carlos Henriquez: basse ; Ali Jackson: batterie)
- Hervé Sellin Tentet "Marciac - New-York Express" (Hervé Sellin: piano, direction ; Claude Egea: trompette, bugle ; Damien Prud'homme: sax, flûte ; Stéphane Chausse: clarinette, sax ; Sylvain Beuf: sax ; Gueorgui Kornazov: trombone ; Stéphan Carracci: vibraphone ; Michael Felberbaum: guitare ; Bruno Rousselet: basse ; Karl Jannuska: batterie)
- Scène de Cybèle :
- Atelier Jazz manouche (16h00)
- Romain Cuoq quintet (17h30)
- Southampton University Jazz Orchestra (19h00)
- Club de Minuit : Baptiste Trotignon quintet "Share" feat Mark Turner & Jeremy Pelt (23h30)
- Jazz Mix : Kneebody / Daedelus Collaboration (Adam Benjamin: Fender Rhodes, effets ; Shane Endsley (effets, percussions ; Kaveh Rastegar: basse, effets ; Ben Wendel: basse, basson, effets ; Nate Woods: batterie ; Daedelus: DJ, effets, son) (00h30)
- Ciel de Lyon "Radisson" : La'tit fanfare (renseignements: 04 78 63 55 00)
- Place de l'Hôtel de Ville (18h00) : Déambulation de fanfare : Nucleus New Orleans Jazz Marching Band
- Théâtre Antique :
- Péristyle (69001 Lyon): Constantine (Ahmed "Ilyes" Chetiba: chant/claviers ; Cid Samartino: basse, machines, programmation ; Joris Garnier: saxophones, flûtes, clarinettes ; Pierre Clairet Benita: percussions) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Trio Ki (David Depassiot: basse/contrebasse ; Benoit Richou: guitare ; Guilhem Meier: batterie) (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
vendredi 10 juillet 2009
- Jazz à Vienne: (voir le site)
- Théâtre Antique : Jazz Mix Night
- Sean Kuti & Fela's Egypt 80's invitent Archie Shepp
- Anthony Joseph & the Spasm band invitent Othello Molineaux & Joseph Bowie
- Roy Ayers & friends feat. Don Blackman & Jazzcotech dancers ...
- Erik Truffaz quartet invite Christophe
- Sun Ra Arkestra
- Oxyd(lauréat Rezzo 2008)
- Scène de Cybèle :
- Atelier Sinatra (16h00)
- David Ladd & The Déjà Vu Combo (17h30)
- The Déjà Vu Big Band (19h00)
- Place de l'Hôtel de Ville (18h00) : Déambulation de fanfare : La'tit Fanfare
- Théâtre Antique : Jazz Mix Night
- Théâtre de verdure de Crane: Mamadeus (manouche) (Laetitia Pansanel-Garric: contrebasse ; Catherine Girard: violon ; Nicolas Boffi: violon ; Julien Tombois: guitare ; Matthieu Pesnot-pin: guitare) (concert à 20h00 en prélude au Crest Jazz Vocal ; 26400 Crane)
- Péristyle (69001 Lyon): Constantine (Ahmed "Ilyes" Chetiba: chant/claviers ; Cid Samartino: basse, machines, programmation ; Joris Garnier: saxophones, flûtes, clarinettes ; Pierre Clairet Benita: percussions) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
-
Crest Jazz Vocal: Mamadeus (swing manouche) (Laetitia Pansanel-Garric: contrebasse ; Catherine Girard: violon ; Nicolas Boffi: violon ; Julien Tombois: guitare ; Matthieu Pesnot-pin: guitare) (concert à 21h00 ; Théâtre de verdure - Grâne) voir le site
- Le Périscope (69002 - Lyon): Sebastien Francois Trio (Antoine Bost: saxophones ; Sébastien Mourant: batterie ; Sébastien François: contrebasse & compositions ) (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
samedi 11 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Constantine (Ahmed "Ilyes" Chetiba: chant/claviers ; Cid Samartino: basse, machines, programmation ; Joris Garnier: saxophones, flûtes, clarinettes ; Pierre Clairet Benita: percussions) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Joulie / Nisse / Marthouret / Prez (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
dimanche 12 juillet 2009
- Caveau du Chien à 3 pattes (69220 Belleville): RYR (Romain Dugelay : saxophones alto et baryton ; Yoann Durant: saxophones alto et soprano,objets ; Rodolphe Loubatière:baterie, objets) (concert à 17h00 ; Croix rouge 69220 Belleville ; tèl : 04-74-66-14-61 ; 5€ / 10€ ;voir le site)
- 16ème Megève Jazz Contest (74): 14 formations de New orleans en compétition du 12 au 14 juillet (Black Jass ; Captain Flapscat ; Classic Jazz Five ; Cosa Nostra Jazz Band ; Cotton City Jazz Band ; Jazztéropodes ; Marie Valentin & her Blue Five ; New Chocolate Dandies ; Old Fashion Jazz Band ; River Saône Jazz Band ; Sequana Swing Jazz Band ; To Bix or not to Bix )(concerts de 17h30 à 22h00 sur les podiums en plein air)
lundi 13 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): JB Hadrot trio (Lauréat Tremplin Suivez'le Jazz 2008) (Jean-Baptiste Hadrot: piano, composition ; Roland Merlinc: batterie; Brice Berrerd: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- La Marquise (69003 Lyon): All night special jazz: Quasimode live ! + Jun Matsuoka & guests : Jazz, Latin Jazz, Japanese Jazz (concert à 21h00 ; 20, quai Augagneur - 69003 Lyon ; tél: 4 72 61 92 92 ; entrée libre)
- Lentilly (69): Sweet Mary Cat invite Alain Meaume & Philippe Guignier (New Orleans) (Alain Meaume: saxophones ; Philippe Guignier: guitare et banjo) (concert à 20h30 ; Place des pins 69120 Lentilly ; entrée libre)
- 16ème Megève Jazz Contest (74): 14 formations de New orleans en compétition du 12 au 14 juillet (Black Jass ; Captain Flapscat ; Classic Jazz Five ; Cosa Nostra Jazz Band ; Cotton City Jazz Band ; Jazztéropodes ; Marie Valentin & her Blue Five ; New Chocolate Dandies ; Old Fashion Jazz Band ; River Saône Jazz Band ; Sequana Swing Jazz Band ; To Bix or not to Bix ) (demie-finales: concerts de 17h30 à 20h00 sur les podiums en plein air)
mardi 14 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): JB Hadrot trio (Lauréat Tremplin Suivez'le Jazz 2008) (Jean-Baptiste Hadrot: piano, composition ; Roland Merlinc: batterie; Brice Berrerd: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- 16ème Megève Jazz Contest (74): Finale au palais des congrès (concert à 21h00 ; 15€)
mercredi 15 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): JB Hadrot trio (Lauréat Tremplin Suivez'le Jazz 2008) (Jean-Baptiste Hadrot: piano, composition ; Roland Merlinc: batterie; Brice Berrerd: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Jazz dans le Ravin : hommage à Serge Gainsbourg (Claire Geraghty: voix ; David Bressat: piano ; Sébastien Joulie: guitare ; Benoît Baud: saxophone ; Florent Nisse: contrebasse ; Charles Clayette: batterie) (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
jeudi 16 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Ompa Bompa (Emmanuel Deplaude: clavier, composition ; Julien Bertrand: trompette, bugle ; Ludovic Murat: saxophones ; Vincent Périer: saxophones, composition ; Franck Boyron: trombone ; Christophe Sarazin: basse ; Olivier Génin: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Nathalie Soles (Nathalie Soles: voix ; Wilhelm Coppey ; Patrick Maradan: contrebasse ; Cédric Perrot: batterie) (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
- Jazz(s) au pluriel (73350 Champagny-en-Vanoise): Buenos Aires Tango Beat : Jazz Tango électro décalé (concert à 21h00 ; Jardins du Presbytère 73350 Champagny-en-Vanoise ; 5€ / 8€)
vendredi 17 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Ompa Bompa (Emmanuel Deplaude: clavier, composition ; Julien Bertrand: trompette, bugle ; Ludovic Murat: saxophones ; Vincent Périer: saxophones, composition ; Franck Boyron: trombone ; Christophe Sarazin: basse ; Olivier Génin: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Jeanne Added / Sebastien Burn / Julien Deprez (Jeanne Added: voix et basse ; Sebastien Burn: batterie ; Julien Deprez: guitare) (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
samedi 18 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Ompa Bompa '(Emmanuel Deplaude: clavier, composition ; Julien Bertrand: trompette, bugle ; Ludovic Murat: saxophones ; Vincent Périer: saxophones, composition ; Franck Boyron: trombone ; Christophe Sarazin: basse ; Olivier Génin: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Nuits de Fourvière (69005 Lyon): Nuit destination Afrique - Ethiopiques - Romano, Sclavis, Texier (concert à 21h00 ; Théâtre romain de Fourvière ; 25 € ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Chansongs - hommage à Nougaro (Géraldine Lefrene: voix ; David Bressat: orgue ; Clélia Bressat: piano ; Maurade Meniri: basse, guitare ; Remy Kaprielan: batterie) (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
- Jazz au Palais (26 Hauterives): La nuit du facteur cheval: le pianiste Jean-Pierre Mas et ses invités (Pierre Barouh: chant ; Eric Seva: sax ; Daniel Mille; accordéon ; Johanna: chant ; Sylvin Marc: basse ; Xavier Desandre-Navarre: batterie, percussions ; Denis Kirh: flûte ; Tchéky Karyo: voix) (concert à 21h00 ; Palais du facteur Cheval ; tél: 04 75 68 81 19 ; 10€ ; voir le site)
- Rencontres musicales de Savoie (73 Albertville): Stochelo Rosenberg & Romane (concert à 21h00 ; Esplanade de la Grande Roche 73 Albertville ; réservation: 04 79 89 75 18 ; 16€ / 18€)
- Montjoux festival (74 Thonon Les Bains): Madjo + Les Doigts de L'Homme + Thomas Dutronc (concert à 20h00 ; Domaine de Montjoux - 43 avenue de Corzent 74 Thonon Les Bains ; 24€ / 29€)
dimanche 19 juillet 2009
- Voix et Musique (69 Condrieu): Louis Sclavis & les Percussions de Treffort (concert à 20h45 ; Parc du FAM l'Echappée, place du marché aux Fruits 69 Condrieu ; Prévente : 20€ et 14€ sur place 26€ ; http://www.petit-theatre-pilat.eu ; Renseignements : 04 74 87 45 27)
lundi 20 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Rémi Vignolo quartet (Alfio Origlio: piano ; Emile Parisien: saxophones ; Jérôme Regard, contrebasse ; Rémi Vignolo: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mardi 21 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Rémi Vignolo quartet ''(Alfio Origlio: piano ; Emile Parisien: saxophones ; Jérôme Regard, contrebasse ; Rémi Vignolo: batterie)' (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Festival en Beaujolais (69 Beaujeu): Les enfants de Django (Samson Schmitt, Yorgui Loeffler, Mike Reinhartd: guitares) (concert à 21h00 ; Espace polyvalent Jeanne Trouillet 69480 Anse ; renseignements : 04 74 68 89 38; 14 € 18€ 21€ ; voir le site)
- Jazz'n bouf - Bourg St-Maurice (73): Olivier Franc orchestra: Hommage à Sidney Bechet + Daniel Hück et Christine Vallin invitent Dom (concert à 21h00 ; parking du centre 73 Bourg St Maurice)
mercredi 22 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Rémi Vignolo quartet ''(Alfio Origlio: piano ; Emile Parisien: saxophones ; Jérôme Regard, contrebasse ; Rémi Vignolo: batterie)' (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Les Estivales du Chateau (73 Chambéry): Richard Galliano Quartet (Gonzalo Rubalcaba: piano ; Richard Bona: basse ; Clarence Penn: batterie) (concert à 21h00 ; Cour d'Honneur du Château des Ducs de Savoie à Chambéry ; entrée libre ; voir le site)
- Jazz'n bouf - Bourg St-Maurice (73): François Biensan & Diaz Rythm: hommage à Duke Ellington + Daniel Hück et Christine Vallin invitent Melody Faith (concert à 21h00 ; parking du centre 73 Bourg St Maurice)
jeudi 23 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): 60° sud (Gustavo Ovalles: percussions ; Pierre Boespflug: piano ; Hugues Mayot: saxophones ; Thibault Chipo: percussions ; Hervé Jacqmin: percussions ; Bertrand Beruard: basse/contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Nuits de Fourvière (69005 Lyon): Jamie Cullum - Sophie Hunger (concert à 21h00 ; Théâtre romain de Fourvière ; 295 € ; voir le site)
- Jazz'n bouf - Peisey (73):
- Concert New Orleans (13h00)
- François Biensan invite Christine Vallin: hommage à Duke Ellington + Daniel Hück invite Olivier Franc + Diaz Rythm invite Dom (diner-concert à 20h00 ; Ecole 73 Peisey)
- Crescent Jazz Festival (71 - Macon): (concert à 20h30 ; Scène flottante - Esplanade Lamartine 71000 Mâcon ; entrée libre)
- Crescent sextet (20h30) (Eric Prost: saxophone ; Christophe Métra: trompette ; Loïc Réchard: guitare ; Florent Nisse: contrebasse ; Olivier Truchot: piano ; Stéphane Foucher: batterie)
- L'Oeuf (Orchestre Energique à Usage Fréquent) (22h00) (Hervé Salamone: trompette, bugle ; Jean-François Baud: trompette, bugle ; Christophe Metra: trompette, bugle ; Vincent Stephan: trompette, bugle, mellophone ; Pierre Baldy: trombone, euphonium, flûte à bec ; Olivier Destephany: trombone ; Jean Crozat: trombone basse ; Vincent Ollier: tuba, euphonium ; Boris Pokora: sax alto, soprano, flûte ; Eric Prost: sax ténor, soprano ; Rodolphe Guillard: sax ténor, soprano, hautbois ; Hervé Francony: sax alto, clarinette basse, flûte ; Jean-Marie Pirollet: sax baryton, alto ; Hervé Humbert: batterie ; Pierre Berne: contrebasse, basse électrique ; Bruno Simon: guitare ; David Bressat: piano, claviers ; Fabien Rodriguez: percussions)
- Jam session au Crescent (0h00) (83 rue Rambuteau 71000 Mâcon ; entrée libre)
- Jazz(s) au pluriel (73350 Champagny-en-Vanoise): No Mad ? : Jazz Cartoon balkanique (concert à 21h00 ; Jardins du Presbytère 73350 Champagny-en-Vanoise ; 5€ / 8€)
- Les Instants Forts (74 Megève): Craig Adams (Gospel) (concert à 20h30 ; Palais des Sports et des Congrès, 74120 Megève; 20€ / 25€)
vendredi 24 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): 60° sud (Gustavo Ovalles: percussions ; Pierre Boespflug: piano ; Hugues Mayot: saxophones ; Thibault Chipo: percussions ; Hervé Jacqmin: percussions ; Bertrand Beruard: basse/contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crescent Jazz Festival (71 - Macon): (concert à 20h30 ; Scène flottante - Esplanade Lamartine 71000 Mâcon ; entrée libre)
- première partie en cours de programmation
- Aka Moon (22h00) (Fabrizio Cassol: sax alto ; Michel Hatzigeorgiou: basse ; Stéphane Galland: batterie)
- Jam session au Crescent (0h00) (83 rue Rambuteau 71000 Mâcon ; entrée libre)
samedi 25 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): 60° sud (Gustavo Ovalles: percussions ; Pierre Boespflug: piano ; Hugues Mayot: saxophones ; Thibault Chipo: percussions ; Hervé Jacqmin: percussions ; Bertrand Beruard: basse/contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crescent Jazz Festival (71 - Macon): (concert à 20h30 ; Scène flottante - Esplanade Lamartine 71000 Mâcon ; entrée libre)
- Concert des stagiaires (20h30)
- Alfio Origlio sextet : Hommage aux Headhunters (22h00) (Alfio Origlio: fender ; Arnaud Renaville: batterie ; Michel Alibo: basse ; Fabien Sanchez: guitare ; Guillaume Poncelet: trompette ; Stéphane Edouard: percussions)
- Jam session au Crescent (0h00) (83 rue Rambuteau 71000 Mâcon ; entrée libre)
- Les Estivales du Chateau (73 Chambéry): Minino Garay et les Tambours du sud (jazz latino) (concert à 21h00 ; Cour d'Honneur du Château des Ducs de Savoie à Chambéry ; entrée libre ; voir le site)
Dimanche 26 juillet 2009
- Rencontres musicales de Savoie (74 La Léchère): Tribute to Lady Day (Ensemble des Cuivres et Percussions de l'ONL; Catali Antonini: chant ; Manu Vallognes: basse ; Yvan Oukrid: batterie) (concert à 18h00 ; Auditorium 74 La Léchère ;13 € 15 €)
lundi 27 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Michel Fernandez quartet (Michel Fernandez: saxophones, compositions ; Josselin Vinay: vibraphone ; Stéphane Rivero: contrebasse ; Stephane Ranaldi: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mardi 28 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Michel Fernandez quartet (Michel Fernandez: saxophones, compositions ; Josselin Vinay: vibraphone ; Stéphane Rivero: contrebasse ; Stephane Ranaldi: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Nuits de Fourvière (69005 Lyon): Caravan Palace - Java - The Puppini Sisters (concert à 20h30 ; Théâtre romain de Fourvière ; 22 € ; voir le site)
mercredi 29 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Michel Fernandez quartet (Michel Fernandez: saxophones, compositions ; Josselin Vinay: vibraphone ; Stéphane Rivero: contrebasse ; Stephane Ranaldi: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Nuits de Fourvière (69005 Lyon): Nuit cubaine : Orquesta Buena Vista Social Club & Omara Portuondo (concert à 21h030 ; Théâtre romain de Fourvière ; 32 € COMPLET; voir le site)
jeudi 30 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Roze Diesel (François Forestier: guitare, effets ; Jean Andréo: sax soprano, voix, samples ; Jean-Pierre Caporossi: claviers, voix, samples : Marc Wolff, batterie, samples) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): TAOB (Fabien Rimbaud: Batterie, voix ; Mark-Ange : basse, loops, Rhodes, synthés et électronique ; Vladimir Vilar-Mercader : Saxophones et autres) (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
- Jazz(s) au pluriel (73350 Champagny-en-Vanoise): Les Doigts de l'Homme (concert à 21h00 ; Jardins du Presbytère 73350 Champagny-en-Vanoise ; 5€ / 8€)
vendredi 31 juillet 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Roze Diesel (François Forestier: guitare/effets ; Jean Andréo: sax soprano, voix, samples ; Jean-Pierre Caporossi: claviers, voix, samples : Marc Wolff, batterie, samples) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Le Périscope (69002 - Lyon): Bal de clôture ! (concert à 21h30 ; 13 rue Delandine - 69002 Lyon ; 5 €) voir le site
samedi 1er août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Roze Diesel (François Forestier: guitare/effets ; Jean Andréo: sax soprano, voix, samples ; Jean-Pierre Caporossi: claviers, voix, samples : Marc Wolff, batterie, samples) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
dimanche 2 août 2009
- Crest Jazz Vocal: Trio Mansuy - Rampal Difraya (concert à 21h00 ; Médiathèque ; Entrée libre)
- Bourg de Péage (26300): Seconde édition des "Endimanchés" (concert à 19h00 ; Piscine Municiaple Boulevard Alpes Provence 26300 Bourg de Péage ; Reservations: 04 75 48 55 71 ; 5€ / 9€)
- No Mas la banda (Claire Martel: piano, choeurs ; Alexandra Bahuaud: chant ; Benjamin Sanchez: timbales ; Sophie Boucher: basse ; Peter Scalisi: congas, bongos ; Mélanie Martel: chant ; Sophie Martel: saxophone, choeurs ; Claude Gomez: trompette, choeurs)
- Azulejos (Philippe Guidat: guitare compositions ; Clément Renaudie: saxophones ; Yan Lacroix: basse, Diego Landivar : cajon ; Christophe Merzet: batterie ; Alfio Origlio: piano ; Paco el Lobo: cante, palmas et jaleo ; Philippe Bouvier: accordéon ; Nuala Kennedy: chant ; Philippe Valdes : percussions, chant)
lundi 3 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Sinti Swing trio (Sébastien Félix: guitare solo ; Youri Félix: guitare rythmique ; Bernard Chalon: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crest Jazz Vocal: Bal Zinzin (Jean Dutour: contrebasse, choeurs, arrangements ; Gabriela Desiqueiria: flûte, voix ; Pierre Givelet: batterie, voix, percussions, arrangements ; Marcel Morize: sax, accordéon, objets, voix ; Rémipetiprez: guitare, mélodica, trombone, compositions, arrangements) (concert à 18h00 ; Espace Soubeyran ; ?€) voir le site
- Nuits de la Batie d'Urfé (42): GagaJazz: Swingin'pool (Olivier Biffaud: guitare ; Franck Balzano: guitare ; Ludovic Murat: saxophone) (concert à 19h00 ; Kiosque des Jardins - Chateau de la Batie d'Urfé 42130 Saint-Etienne-le-Molard ; entrée libre)
mardi 4 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Sinti Swing trio (Sébastien Félix: guitare solo ; Youri Félix: guitare rythmique ; Bernard Chalon: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crest Jazz Vocal: (concert à 20h30 ; Espace Soubeyran ; 20/27€) voir le site
- Yom : "The new king of klezmer clarinet" (Klezmer) (Yom: clarinette ; Denis Cuniot: piano ; Benoît Giffard: tuba, trombone ; Alexandre Giffard: tapan)
- Caravan Palace (swing) (Charles Delaporte: contrebasse, programmation ; Hugues Payen: violon, chant ; Arnaud Vial: guitare, programmation ; Camille "Chapi" Chapellière: clarinette ; Antoine Toustou: machines, trombone ; Colotis Zoé: chant, clarinette)
- conférence de Nicolas Béniès : Cycle "Le Jazz et la France une histoire d'amour" (16h00 ; Café "L'Arrêt Public"; entrée libre)
- Nuits de la Batie d'Urfé (42): GagaJazz: Vincent Périer Quartet (Vincent Périer: saxophone ; Rémi Ploton: piano ; Brice Berrerd: contrebasse ; Yvan Oukrid: batterie) (concert à 19h00 ; Kiosque des Jardins - Chateau de la Batie d'Urfé 42130 Saint-Etienne-le-Molard ; entrée libre)
mercredi 5 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Sinti Swing trio (Sébastien Félix: guitare solo ; Youri Félix: guitare rythmique ; Bernard Chalon: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crest Jazz Vocal: soirée sud (concert à 20h30 ; Espace Soubeyran ; 20/27€) voir le site
- Melingo (Daniel Melingo: chant, guitare, clarinette ; Rodrigo Guerra: guitare, trombone, banjo, etc... ; Romain Lecuyer: basse ; Nini Flores: bandoneon ; Rudi Flores: guitare)
- Chano Dominguez (flamenco jazz) (Chano Dominguez: piano ; Israel Suarez "Piraña": percussions ; Tomas Moreno "Tomasito": danse ; Blas Cordova "Kejio": chant)
- conférence de Nicolas Béniès : Cycle "Le Jazz et la France une histoire d'amour" (16h00 ; Café "L'Arrêt Public"; entrée libre)
- Nuits de la Batie d'Urfé (42): GagaJazz: François Forestier trio (François Forestier, Célia Forestier: chant ; Pascal Coquard: percussions) (concert à 19h00 ; Kiosque des Jardins - Chateau de la Batie d'Urfé 42130 Saint-Etienne-le-Molard ; entrée libre)
jeudi 6 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Faycal Salhi quintet (Fayçal Salhi: oud/guitare ; Ricardo Izquierdo: saxophones ; Anaïs Bodart: violoncelle ; Vladimir Torrès: contrebasse ; Etienne Demange: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crest Jazz Vocal: (concert à 20h30 ; Espace Soubeyran ; 20/27€) voir le site
- Bo-Zi-Lo ''(Bojan Zulfikarpasic: piano ; Karim Ziad: batterie ; Julien Lourau: saxophone)
- Musica Nuda (Petra Magoni: voix ; Ferruccio Spinetti: contrebasse)
- conférence de Nicolas Béniès : Cycle "Le Jazz et la France une histoire d'amour" (16h00 ; Café "L'Arrêt Public"; entrée libre)
- Jazz(s) au pluriel (73350 Champagny-en-Vanoise): Le Cercle : Jazz électro drum'n bass (concert à 21h00 ; Jardins du Presbytère 73350 Champagny-en-Vanoise ; 5€ / 8€)
vendredi 7 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Faycal Salhi quintet (Fayçal Salhi: oud/guitare ; Ricardo Izquierdo: saxophones ; Anaïs Bodart: violoncelle ; Vladimir Torrès: contrebasse ; Etienne Demange: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crest Jazz Vocal: (concert à 20h30 ; Espace Soubeyran ; 20/27€) voir le site
- DPZ (Maxime Delpierre: guitare électrique ; Thomas de Pourquery: saxophone ; Daniel Zimmermann: trombone ; Sylvain Daniel: basse électrique ; David Aknin: batterie)
- Abd Al Malik (Abd Al Malik: chant ; Bilal: DJ ; Nicolas Gorge: batterie, percussions ; Or Solomon: piano, clavier ; Antoine Massoni: basse, contrebasse ; Alexandre Leitao: accordéon ; Thibault Frisoni: guitare)
- Nuits de la Batie d'Urfé (42): GagaJazz: Trio Demouthumbert (Camille Mouton: piano ; Charles Humbert: contrebasse ; Francis Decroix : batterie) (concert à 19h00 ; Kiosque des Jardins - Chateau de la Batie d'Urfé 42130 Saint-Etienne-le-Molard ; entrée libre)
- Les Instants Forts (74 Megève): Sidney Bechet Memory (concert à 20h30 ; Palais des Sports et des Congrès, 74120 Megève; 20€ / 25€)
samedi 8 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Faycal Salhi quintet (Fayçal Salhi: oud/guitare ; Ricardo Izquierdo: saxophones ; Anaïs Bodart: violoncelle ; Vladimir Torrès: contrebasse ; Etienne Demange: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Crest Jazz Vocal: (concert à 20h30 ; Espace Soubeyran ; 20/27€) voir le site
- Lauréat du concours
- Dee Alexander (Dee Alexander: voix ; Miguel de la Cerna: piano ; Harrison Bankhead: contrebasse ; Ernie Adams: batterie)
- Lucky Peterson (Lucky Peterson: chnat, guitare, orgue Hammond, piano, claviers ; Todd Parsow: guitare ; Jamil Rahman Byrom: batterie ; Bill Eden: sax)
- conférence de Nicolas Béniès : Cycle "Le Jazz et la France une histoire d'amour" projection de "Ascenseur pour l'échafaud" (15h00 ; Médiathèque; entrée libre)
- Nuits de la Batie d'Urfé (42): GagaJazz: La Mamiwatta (Bernard Suchel: orgue Hammond ; Patrick Révelli: accordéon ; Pascal Fraioli : batterie) (concert à 19h00 ; Kiosque des Jardins - Chateau de la Batie d'Urfé 42130 Saint-Etienne-le-Molard ; entrée libre)
lundi 10 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Saad trio (Jon Boutellier: saxophone ; Florent Nisse: contrebasse ; Anne Pacéo: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mardi 11 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Saad trio (Jon Boutellier: saxophone ; Florent Nisse: contrebasse ; Anne Pacéo: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mercredi 12 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Saad trio (Jon Boutellier: saxophone ; Florent Nisse: contrebasse ; Anne Pacéo: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
jeudi 13 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Wilhelm Coppey quartet (Wilhelm Coppey: piano ; Christophe Metra: trompette/bugle ; Patrick Maradan: contrebasse ; Cédric Perrot: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Jazz(s) au pluriel (73350 Champagny-en-Vanoise): Mango Gadzi : Gipsy Jazz métissé (concert à 21h00 ; Jardins du Presbytère 73350 Champagny-en-Vanoise ; 5€ / 8€)
vendredi 14 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Wilhelm Coppey quartet (Wilhelm Coppey: piano ; Christophe Metra: trompette/bugle ; Patrick Maradan: contrebasse ; Cédric Perrot: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
samedi 15 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Wilhelm Coppey quartet (Wilhelm Coppey: piano ; Christophe Metra: trompette/bugle ; Patrick Maradan: contrebasse ; Cédric Perrot: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Les Instants Forts (74 Megève): Electrophazz + No Jazz (concert à 20h00 ; Place du Village 74120 Megève ; entrée libre)
lundi 17 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Hommage à Django & Grapelli (Rémi Crambes: violon ; Benoit Convert: guitare ; Yannick Alcocer: guitare ; Joan Eche-Puig: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mardi 18 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Hommage à Django & Grapelli (Rémi Crambes: violon ; Benoit Convert: guitare ; Yannick Alcocer: guitare ; Joan Eche-Puig: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mercredi 19 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Hommage à Django & Grapelli (Rémi Crambes: violon ; Benoit Convert: guitare ; Yannick Alcocer: guitare ; Joan Eche-Puig: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
jeudi 20 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Joachim Expert trio (Joachim Expert: piano ; Jérémy Bruyère: contrebasse ; Grégory Jouandon: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Journée manouche du stage d'accordéon de Richard Posselt (26750 Châtillon Saint Jean) avec Laurent Courtois (guitare), Antoine Courtois (vibraphone et guitare), Jérôme Chartier (contrebasse). plus d'infos ici.
vendredi 21 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Joachim Expert trio (Joachim Expert: piano ; Patrick Maradan: contrebasse ; Grégory Jouandon: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
samedi 22 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Joachim Expert trio (Joachim Expert: piano ; Patrick Maradan: contrebasse ; Grégory Jouandon: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
lundi 24 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Phare Ouest (François Cordas: saxophones ; Philippe Canovas: guitare ; Jean-Pierre Almy: contrebasse ; Andy Barron, batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mardi 25 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Phare Ouest (François Cordas: saxophones ; Philippe Canovas: guitare ; Jean-Pierre Almy: contrebasse ; Andy Barron, batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mercredi 26 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Phare Ouest (François Cordas: saxophones ; Philippe Canovas: guitare ; Jean-Pierre Almy: contrebasse ; Andy Barron, batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
jeudi 27 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Humano a Mano + VJ Nico Ticot (Thierry Beaucoup: saxophones ; Marc Wolff: batterie ; Olivier Sébillotte, effets et ordinateurs ; Nicot Ticot: video) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
vendredi 28 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Humano a Mano + VJ Nico Ticot (Thierry Beaucoup: saxophones ; Marc Wolff: batterie ; Olivier Sébillotte, effets et ordinateurs ; Nicot Ticot: video) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Festival du Chateau de Clermont en Genevois (74): (concert à partir de 19h30 ; Chateau de Clermont en Genevois ; 04 50 45 63 77 ; 27€ / 30€)
- Slam Quartet (Pierre Michel: guitare ; Regis Ferrante: sax. ; Joran Cariou: Fender Rhodes ; Thibaud Pontet: batterie) (19h30)
- Ron Carter 5tet : Foursight plus one (Ron Carter: basse ; Guilherme Monteiro: guitare ; Stephen Scott: piano ; Rolando Morales-Matos: percussions ; Payton Crossley: batterie) (21h00)
samedi 29 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Humano a Mano + VJ Nico Ticot (Thierry Beaucoup: saxophones ; Marc Wolff: batterie ; Olivier Sébillotte, effets et ordinateurs ; Nicot Ticot: video) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
- Festival du Chateau de Clermont en Genevois (74): (concert à partir de 19h30 ; Chateau de Clermont en Genevois ; 04 50 45 63 77 ; 27€ / 30€)
- David Kikoski Trio (David Kikoski: piano ; Darryl Hall: basse ; Leon Parker : batterie) (19h30)
- Robin MC Kelle septet (Robin Mc kelle: voix ; Xavier Davis: piano ; Reggie Washington: basse ; électrique ; Mark Mclean: batterie ; Adam Rapa: trompette ; Mike Tucker: saxophone ; Jeff Galindo: trombone) (21h00)
dimanche 30 août 2009
- Festival du Chateau de Clermont en Genevois (74): (concert à partir de 19h30 ; Chateau de Clermont en Genevois ; 04 50 45 63 77 ; 27€ / 30€)
- Marc Perrenoud Trio (Marc Perrenoud: piano ; Marco Muller: basse ; Cyril Régamey : batterie) (19h30)
- Jean-Jacques Milteau : Soul Conversation (Jean-Jacques Milteau: harmonica ; Ron Smyth: voix ; Michael Robinson: voix ; Manu Galvin: guitare ; Gilles Michel : basse) (21h00)
lundi 31 août 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Trio Truchot, Regard, Henocq (Olivier Truchot: piano ; Jérôme Regard: contrebasse ; Benjamin Henocq: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mardi 1er septembre 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Trio Truchot, Regard, Henocq (Olivier Truchot: piano ; Jérôme Regard: contrebasse ; Benjamin Henocq: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
mercredi 2 septembre 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Trio Truchot, Regard, Henocq (Olivier Truchot: piano ; Jérôme Regard: contrebasse ; Benjamin Henocq: batterie) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
jeudi 3 septembre 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Cornegidouille (Nicolas Gréaux: guitare ; Julien Tombois: guitare ; Boris Cassone: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
vendredi 4 septembre 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Cornegidouille (Nicolas Gréaux: guitare ; Julien Tombois: guitare ; Boris Cassone: contrebasse) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
samedi 5 septembre 2009
- Péristyle (69001 Lyon): Soirée de clôture: Bigre Big Band (Clément Edouard, Fred Gardette, Thibault Fontana, Mathieu Guerret, Romain Dugelay: saxophones ; Vincent Labarre, Hervé Salamone, Lucas Garnier, Léo Jeannet: trompettes ; Loïc Bachevillier, Sébastien Chetail, Jean Crozat, Sylvain Thomas: trombones ; Nicolas Mondon: guitare ; Alice Perret: piano électrique ; Raphaël Vallade: basse électrique ; Yannick Urbani: batterie ; Arnaud Laprêt: percussions ; Félicien Bouchot, compositions, arrangements, trompette) (sets à 19h, 20h15, 22h ; Péristyle de l'Opéra de Lyon ; Entrée libre - Consommations payantes ; voir le site)
vendredi 2 octobre 2009
- Salle 3000 (69006 Lyon): Diana Krall (concert à 20h30 ; Salle 3000 - Cité internationale, 50 quai Charles de Gaulle 69006 Lyon ; de 51.00 € à 84.00 € )
- Le Sémaphore (69540 Irigny): Tribute to Lady Day (Ensemble des Cuivres et Percussions de l'ONL; Catali Antonini: chant ; Manu Vallognes: basse ; Yvan Oukrid: batterie) (concert à 20h30 ; Le Sémaphore - Rue de Boutan 69540 Irigny ; tél.:04 72 30 47 90 ; 7.5 € 12 € 15 €)
samedi 3 octobre 2009
- Le Sémaphore (69540 Irigny): Tribute to Lady Day (Ensemble des Cuivres et Percussions de l'ONL; Catali Antonini: chant ; Manu Vallognes: basse ; Yvan Oukrid: batterie) (concert à 20h30 ; Le Sémaphore - Rue de Boutan 69540 Irigny ; tél.:04 72 30 47 90 ; 7.5 € 12 € 15 €)
vendredi 9 octobre 2009
- Jazz Club de Savoie (73 Chambery): Tribute to Lady Day (version quintet) (Catali Antonini: chant ; Eric Prost: saxophones ; Stéphane Pelegri: Fender Rhodes ; Pascal Berne-contrebasse ; Yvan Oukrid: batterie) (concert à 20h30 ; 138 Rue François de Guise 73000 Chambéry ; tél.:04 79 33 43 85 ; 8€/ 14€)
vendredi 16 octobre 2009
- Atrium (69 Tassin la Demi-Lune): Tribute to Lady Day (Ensemble des Cuivres et Percussions de l'ONL; Catali Antonini: chant ; Manu Vallognes: basse ; Yvan Oukrid: batterie) (concert à 20h30 ; Atrium - 35, avenue du 8 mai 1945 69160 Tassin-la-Demi-Lune; tél.:04 78 34 70 07 ; 7.5 € 12 € 15 €)
vendredi 6 novembre 2009
- Irigny La Pastorale (69): Cabaret Jazz New Orleans (JP Alessi: sax ; Cyrille Ouanich: piano ; Henry Lenmaire: banjo ; Dominic Molton: contrebasse ; Vincent Hurel: batterie) (concert à 20h30 ; La Pastorale - Chemin de Boutan 69540 Irigny ; tél:04 72 30 47 90 ; 8€ à 18€)
jeudi 29 avril 2010
- Théâtre de Vénissieux (69): Ahmad Jamal en quartet ( Manolo Bradena: percussions ; James Johnson: batterie ; James Cammack: contrebasse) (concert à 20h30 ; Maison du peuple - 8, boulevard Laurent-Gérin 69631 Vénissieux CEDEX ; tél: 04 72 90 86 60 ; 18 à 30€
Si vous avez une info à placer dans l'agenda de Jazz-Rhone-Alpes.com n'hésitez pas à nous passer un mail à contact@jazz-rhone-alpes.com
