37ème édition Jazz à Vienne :

Ce qu'il s'est passé le lundi 3 juillet 2017

 

 

f-robin-110x110 Le croquis et la chronique de François Robin

Pharoah Sanders 4tet, Jeff Mills & Emile Parisien. Ainsi parlait Coltrane

170703-parisien-mills-fr-600x404

Dans un noir sidéral, trois longues notes des cuivres, le cri dissonant de l'orchestre soutenu par le martellement des timbales, ainsi s'ouvre le film culte de Stanley Kubrick "2001 l'Odyssée de l'Espace", sur le poème symphonique de Richard Strauss. Un film obscur et lumineux, à l'image du prophète perse dont Nietzsche fit son inspirateur pour son poème philosophique: "Ainsi parlait Zarathoustra". Une histoire d'éternel retour, d'humanité transfigurée, glissant à travers les millénaires vers la connaissance suprême au contact d'un mystérieux et symbolique monolithe noir. Merveille d'oxymore! Voir la suite . . .

 

Voir le blog de François Robin

trait-gris-fonce-600x10

daniel-peyreplane-110x110 Du coin de l'œil de Daniel Peyreplane

clin-doeil-2017-dp-1793


trait-gris-fonce-600x10

Sur la scène de Cybèle

Big Band du conservatoire de Vienne

170703-01-big-band-conservatoire-vienne-cybele-16428-600x177

C'est avec une émotion non contenue que Philippe Khoury présente ce concert. Il le dédie à son ami Laurent Alex, professeur de sax au conservatoire de Vienne, qui a réalisé tous les arrangements du concert.

Laurent nous a prématurément quitté il y a quelques mois.


Ce concert est une création, c'est la première fois que ce big band joue avec un chœur d'enfants. La chorale "Kids", bien sûr dirigée par Frédérique Brun.

Les enfants interprètent plusieurs chansons : Le casse tête, Le café d'Henry une adaptation de Do you know what it mean's to miss New Orleans, L'otorhinoceros nous raconte l'histoire d'un méchant docteur, plus joyeux ensuite avec Come back to Niou Orlinsse qui puise ses racines en Louisianne. Le répertoire des P'tits loups se termine avec la Salsa des P'tits loups.


Seconde partie du set avec le big band et des reprises de Ray Charles et le chanteur Jean-Sébastien Barrel. On entendra : One mint julep (arrangé par Quincy Jones) ; Busted (je suis fauché) (encore un bijou de Quincy) ; Hallelujah I Know (morceau que tout le monde connait sans en connaître le titre) et bien sûr Georgia on my mind et pour finir l'obligatoire What did I Say repris en cœur par le public qui ne se lasse pas de Ray Charles. Jean-Sébastien Barrel nous offre une prestation des plus convaincantes.

Pascal Derathé & photos Jazz-Rhone-Alpes.com

trait-gris-300x11

Fabrice Tarel Trio

170703-02-fabrice-tarel-trio-cybele-26506-600x216

Au risque de vous embêter, ou alors de vous étonner, je voudrais évoquer la fidélité ou l'infidélité, c'est selon.
N'attendez pas de révélations croustillantes ou stupéfiantes, à la manière de Fela Kuti et de ses vingt-sept femmes, comme se plaisait à le rappeler le conférencier d'hier. Je vous parlerai plutôt de fidélité entre les musiciens de jazz. Dix ans dans une vie, c'est important, pour un trio qui a commis de magnifiques concerts, enchaînant les morceaux comme des tubes. Une musique énergique où la complicité évidente fournit plus que la matière, l'esprit et les perles en improvisation. Le trio de Fabrice Tarel. Le travail passionné du musicien implique cette connivence.
Mais il suppose aussi de renouveler son discours pour garder sa fraîcheur, son enthousiasme  et sa spontanéité. Par définition, par essence, c'est par la confrontation avec d'autres musiciens, par la multiplication des partenaires que le jazz se régénère et explose.  La maturité, le continuum suppose une part d'infidélité.
Ce n'est pas une infidélité subie mais voulue. Ce n'est pas une infidélité humaine et affective, elle n'implique pas de rupture, elle génère une bonification réciproque. Avec ce nouvel équipage qui vient tout juste de démarrer, Fabrice Tarel tient là un trio de haute volée. On entend bien entendu la patte du pianiste : une musique lyrique et méditative, faite d'arpèges et d'harmonies fragiles et beaux,  de mélodies entêtantes et de thèmes imbriqués, l'élégance entre ruptures et flux hypnotiques. Il y a la nouveauté de la section rythmique, avec Yann Phayphet (contrebasse) et Charles Clayette (batterie), aguerris tous les deux au jeu complexe du jazz, qui apporte une fraîcheur qui demande encore à trouver sa belle osmose et ses marques. Les deux artistes font sonner les morceaux anciens d'une manière souple et puissante. Il y a des directions nouvelles, compositions de toute beauté. Il y a tout en germe. C'est là, ça éclot.
Comme un nouvel amour.

Laurent Brun et photos Nathalie Jamais

trait-gris-300x11

Thibaut François Trio

170703-03-thibaut-francois-trio-cybele-26509-600x257

On leur demanderait de jouer de la variété, de faire danser une noce ou d'animer une matinée boudin à la chaudière, ceux là ne tiendraient pas deux minutes. Démasqués, vus, reconnus. Ils reviendraient au jazz le plus pur, le plus ancré dans le sol, en moins de temps qu'une abeille pour butiner sa fleur.  Un jazz qui vient du blues. Ils ne peuvent pas cacher leur vraie nature. Un trio de rêve. Pour une musique joyeuse et inspirée. Le plaisir sur scène est évident et communicatif. Vous dire que je suis aux anges à chaque fois que je les croise. Les yeux vissés sur les doigts du guitariste, qui parcourt le manche comme s'il était en train de revisiter sa maison de la cave au grenier.

Partout à l'aise. Je reste fasciné, littéralement subjugué, attiré physiquement non par l'homme, même s'il a pourtant tout de quelqu'un de convivial, mais par la sensation physique du son. Un plaisir kinesthésique, quasi sensuel, que procure l'attaque des doigts sur un manche de violon, de guitare ou de contrebasse. Quand vous rajoutez la vélocité, cela prend une ampleur. A cela vous mettez  en plus la beauté des mélodies, un son à la Metheny qui enveloppe tout l'espace. Maintenant vous prenez un contrebassiste qui va au charbon en jazzman complet, un batteur qui impose une présence immédiate et sensible, un saxophoniste qui joue un post bop élégant et vous obtenez un grand trio et un grand quartet. Que demander de plus ?

Laurent Brun et photos Nathalie Jamais

(Thibaut François: guitare ; Brice Berrerd: contrebasse ; Marc Michel: batterie ; invité Alex Hitchcok: sax ténor)

 

trait-gris-300x11

Stracho Trio

170703-04-stracho-trio-cybele-26546-600x199

Complicité et élégance artistique au programme de Cybèle avec le Stracho Trio dont l'instigateur est le percussionniste multifonctions Stracho Temelkovski qui joue à la fois de la mandoline, de la basse, des percussions orientales et de la viola... Et en plus, il chante ! Il reste de la place cependant pour ses deux compères, à savoir le saxophoniste Jean-Charles Richard (soprano & baryton), l'homme au chapeau, et l'accordéoniste Jean-François Baëz.
Le public se laisse porter par les mélodies mais s'interroge sur la rythmique : c'est un 9 / 8 ? "à la limite, 2 + 2 + 2 + 3" rétorqu'ais-je.
Quoiqu'il en soit, le trio va bientôt entrer en enregistrement et inviter Jean-Marie Machado au piano, Ashraf Sharif Khan à la cithare et Shyam Goswami, chanteur de Calcutta.
Vous pourrez les retrouver le 27 juillet au lac de Romagnieu (38) et bientôt à l'AmphiOpéra de Lyon pour la création de ce nouveau projet.

Nicolas Pommaret & photos Jazz-Rhone-Alpes.com 

 


trait-gris-fonce-600x10

Cybèle en soirée

Hall Blues Band

170703-05-hall-blues-band-cybele-16458-600x188

Où l'on retrouve le Hall Blues Band, sympathique big band du club éponyme de Pélussin, qui écume les scènes de Vienne depuis plusieurs jours. Après le Comptoir des Terroirs, la place de l'Hôtel de Ville les voilà au Kiosque de Cybèle. C'est un peu la crise du logement, alors la première rangée de sax se positionne devant la scène. Le chanteur, saxophoniste et leader Jacky Gammino booste le truc et met l'ambiance pour le plus grand bonheur du public encore une fois très nombreux avec cette première belle soirée à Vienne.

Pascal Derathé & photos Jazz-Rhone-Alpes.com

trait-gris-300x11

Intermed

170703-06-intermed-cybele-16471-600x188

Des habitués de Cybèle. Ils sont tous médecins, infirmiers d'où le nom du groupe Intermed, bien choisi. Ils reprennent des standards intemporels et se font plaisir.

 

trait-gris-fonce-600x10

Au Théâtre Antique en soirée

trait-gris-300x11

Pharoah Sanders

170703-07-phaorah-sanders-ta-26571-600x255

Lorsqu'il entre en scène, le temps s'arrête et nos souffles avec, Pharoah Sanders rejoint, à pas très mesurés, le devant de la scène, son trio est lui déjà installé, ils l'attendent. Nous ne savions pas du tout qui seraient ses compagnons du moment, je reconnais son très fidèle pianiste William Henderson, il me faudra enquêter pour connaitre le nom du contrebassiste et celui du batteur même si le patron nous les aura présentés comme étant les meilleurs, il était difficile de le comprendre distinctement : à la basse Oliver Hayhurst et à la batterie Gene Calderazzo (le frère du pianiste), pour nous autres, il est essentiel de connaitre le "line up".

Le pianiste installe les nappes mouvantes, habituelles, qui soutiennent les improvisations du Maître ; il porte le ténor en bouche, il brode, virevolte, le son est là, toujours, immuable, unique, magique, chaud, lyrique, serein. En quelques mesures le tapis s'est envolé nous sommes ailleurs, avec lui, il n'a pas oublié le cap, il a toujours les clefs du palais. Avec le second thème, toute la puissance est désormais aux ordres, Pharoah peut ainsi lancer ses cris rageurs, il fait encore se côtoyer l'extrême douceur câline et la hargne la plus terrible mais toujours parfaitement contenue, maîtrisée ; le discours est le même, quel bonheur ! il nous invite dans son "ambiance" personnelle. Je n'aime pas beaucoup les hommages, sauf lorsqu'ils sont ceux des créateurs authentiques, savourons avec délectation, le privilège et l'extrême plaisir d'avoir sur cette scène, une fois encore, celui qui a fait le bizness avec John Coltrane et qui va nous offrir pour ce concert d'ouverture, comme une master class. Sanders est un show man aussi, il est parfaitement surprenant, après les très honorables soli de ses compagnons de route, eux aussi dans le jus authentique "d'époque" même s'ils sont bien plus jeunes, il esquisse quelques pas d'une danse langoureuse, il joue à nouveau puis il chante, nous invite à lui répondre, avouons-le, nous sommes jouisseurs et, lorsque les poils commencent à se dresser sur les avant-bras... Ballades langoureuses, tempi vifs, enjoués, le bougre sait le faire, il aura joué pour nous, une fois de plus, ces accords qui semblent impossibles sur un saxophone, un flot âpre de notes déferlantes, All We Need Is Inspiration, il le chante, il le danse encore, il le psalmodie. Il aura joué Naïma, "merci pour ce moment", we really hope to see you again, soon...

P.S. "brèves de coulisses" : Pharoah Sanders n'a pas quitté le théâtre antique, il a écouté les concerts, mais surtout, il a attendu son copain Archie Shepp. Vers deux heures du mat', il a fallu, avec le tact de rigueur, leur demander de quitter les loges, ils n'en finissaient pas de parler de leurs instruments, de leurs becs, de leurs anches, comme des étudiants qui s'échangent leurs derniers nouveaux bons tuyaux...

Philippe Simonci & photos Martin Stahl

trait-gris-300x11

Emile Parisien & Jeff Mills

170703-08-parisien-mills-ta-16469-600x205

Coincée entre les prestations de deux partenaires historiques de John Coltrane, Jazz à Vienne avait placé une énigmatique rencontre, organisée par un producteur, entre un dj superstar, Jeff Mills, et un saxophoniste, Emile Parisien, très en vogue dans l'hexagone et que l'on commence à voir  un peu partout en Europe
L'œuvre de John Coltrane, des plus importantes dans le jazz et la musique en général, semblait toute indiquée pour une telle rencontre. La recherche de la transe propre aux musiques techno comme l'indique Jeff Mills n'est pas sans commune mesure avec la recherche spirituelle de Trane, celle-ci n'étant bien sûr pas réductible à celle-là. Mais il y a des choses de cet ordre déjà dans Bahia, dans les sessions d' "Africa/Brass" et plus tard avec des directions différentes dans Om et Kulu Sé Mama.
Le résultat n'est pas si mal, et dès le début avec Crash Go the World, de Jeff Mills suivi de Giant Steps, on se dit qu'il y a de ça et que Trane n'est pas loin, le musicien et le programmateur (c'est ainsi que se définit Jeff Mills, avec une humilité un peu provocante tout de même) sont en phase. Même si parfois la connexion nous semble hasardeuse, le saxophoniste ne perd pas le fil, lui perçoit certainement des choses qui me dépassent un peu. Nous sommes maintenant habitués à l'utilisation de boucles en direct sur la scène, ce qui est fait ici à bon escient. Mais le fervent admirateur de John Coltrane, ce maître en création musicale sur le plan du vocabulaire et de la syntaxe, se surprend en flagrant délit d'adulation scandalisée, lorsqu'il entend des boucles issues du sax de Coltrane (Naïma) ou de la contrebasse de Jimmy Garrison, avant de goûter le délicat frisson de la transgression, tant sont bienvenues ces citations pour rappeler ce dont on parle, l'œuvre de John Coltrane. Lorsque sur le dernier morceau, Emile Parisien, qui tout au long de ce concert avait conservé ce son de sax soprano si rond et si parfait, qui est sa marque propre, explose ce son qui devient multiple, en harmoniques déchirantes et pourtant qui nous cueille à l'estomac, nous brouille le cerveau et nous touche le cœur, on se dit que c'est bien, la démarche est cohérente. Ce chorus explosif et explosé est la chute logique de tout ce qui a précédé. Plus tôt ça n'aurait été qu'une imitation, ici ce chorus est l'aboutissement d'un cheminement, qui aura pris tout le concert, mais qui était nécessaire pour conserver ce caractère d'authenticité.

Michel Mathais & photos Martin Stahl

trait-gris-300x11

Archie Shepp All Stars

170703-09-archie-shepp-ta-16483-600x259

"Blasé... Ain't you Daddy? / You shot your sperm into me, / And never set me free. / This ain't a hate thing... / It's a love thing / If lovers every really love that way / The way they / Say. / I gave you a loaf of sugar, / You tilt my wound 'til it runs. / All of Ethiopia awaits you / My prodigal son. / Blasé ain't you big daddy / But momma loves you. / She / Always has." 
Blasé / N'est-ce pas toi qui l'es mon gars ? / Toi qui éjacules en moi / Mais ne me libères pas./ Je le dis sans haine mais avec amour./ Si les amants s'aimaient jamais vraiment ainsi/ Comme il se le disent./ Je t'ai donné du sucre*/ Tu cognes ma matrice jusqu'à ce qu'il coule./ Toute l'Ethiopie t'attend mon fils prodigue. / Blasé, n'est-ce pas que tu l'es mon gars ? / Mais maman t'aime tu sais. / Elle t'a toujours aimé.
*Loaf of sugar fait référence à sugar loaf qui désigne aussi bien l'argent que la semence féminine produite pendant l'acte sexuel.

Traduction de Belette & jazz  (http://belettejazz.wordpress.com/2011/01/10/jeanne-lee-blase/)

Loin d'une représentation, le concert d'Archie Shepp au Théâtre Antique de Vienne articule le vocatif : sa musique appelle, interpelle, invoque. Ces ballades musicales parcourent les années sans rien ôter à la prégnance de leur actualité. Ces morceaux de "great black music"* comme il aime à dire le freejazz/jazz/soul/blues s'inscrivent dans une histoire sociale et politique qui transcende les Etats-Unis.

En hommage à John Coltrane, tiré de l'album "Four for trane" (1964), Syeeda's Song Flute donnera le ton à l'équilibre et à la précision avec laquelle les musiciens ne cesseront de jouer ce soir. "Quand j'ai une difficulté technique, quand je cherche un nouveau concept, je reviens toujours à mon grand frère, John Coltrane. Un homme humble, gracieux de beaucoup de qualité. C'est grâce à lui que j'ai sorti mon premier disque chez Impulse."*

Marion Rampal transmet à son tour les dires aiguisés de Jeanne Lee. Les victoires pour les droits civiques n'ont laissé que peu de place à l'émancipation des femmes. Guerrières dans les rues, sous leurs plumes ou dans les chants, elles restent des machines à engendrer les "combattants de la révolution".  Blasé, sorti en 1969 sur l'album éponyme,  laisse libre la voix traversant les nuits
densifiées sous les doigts du pianiste Jason Moran,
creusées et assombries par le contrebassiste Darryl Hall,
notes en rupture et prolongement des souffles,
le son douloureux de la trompette luxuriante d'Amir ElSaffar, se défait sous nos oreilles .
Blues for Brother George Jackson fait jaillir des "impulses" dans la voix de Marion, des étranglements dans les envolés sonores du saxophoniste anglais Shabaka Hutchings. La mutinerie de la prison qui porte le même nom que l'album Attica (1972) et la mort du membre des Blacks Panthers mettent en scène la place de chaque battement de Nasheet Waits. A la gravité du son d'Archie Sheep suit une ballade : les brisures sont des lignes souples et douces, des brises de souffles, des touchers harmonieux et sensuels. Le swing des musiciens est celui de l'échange, nul besoin de solo qui s'expatrie dans l'inconnu. C'est une partition à plusieurs où les rythmes s'insinuent  dans les jeux singuliers. On finit par la voix suave d'Archie : un blues qui nous laisse aller... "Jusqu'à la prochaine fois"*.
* Archie Sheep

Valérie Lagarde & photos Martin Stahl

trait-gris-fonce-600x10

Au Club de Minuit/JazzMix

Shabaka Hutchings & the Ancestors

170703-10-shabaka-and-ancestors-club-de-minuit-16488-600x213

On avait découvert le saxophoniste Shabaka Hutchings l'année passée pour la clôture de Cybèle avec un tout autre projet "Sons Of Kemet". On l'avait redécouvert cet hiver à A Vaulx Jazz avec The Ancestors (voir ici). D'étoile montante du jazz il passe au rang de star confirmée. Pour preuve il a partagé la scène du Théâtre Antique sur deux morceaux avec le Maître Archie Shepp avant de descendre au Club de minuit.

On le retrouve dans la même configuration : Mthunzi Mvubu au sax alto, Ariel Zomonsky à la contrebasse, Tumi Mogorosi à la batterie, Gontse Makhene aux percussions et le toujours étonnant et attachant Slyabonga Mthembu à la voix. Musiciens Sud-Africains qui insufflent un esprit quasi mystique au répertoire. Ils nous embarquent dans leur univers.
Avec ce projet Shabaka fait "carton plein" et renouvelle le genre. Chapeau !

Pascal Derathé & photos Jazz-Rhone-Alpes.com

trait-gris-fonce-600x10

trait-gris-fonce-600x10

La galerie de photos de Jazz-Rhone-Alpes.com

Les concerts du lundi 3 juillet 2017 à Vienne


Big bands du Conservatoire de Vienne ; Fabrice Tarel Trio ; Thibaut François Trio ; Stracho Temelkovski Trio feat. Jean-Charles Richard et Jean-François Baez ; Hall Blues Band ; Intermed ; Pharoah Sanders Quartet ; Jeff Mills & Emile Parisien ; Archie Shepp All Star ; Shabaka Hutchings & The Ancestors

 

(Les photos publiées ici ne sont pas libres de droit et appartiennent à leurs auteurs qui seuls peuvent vous accorder un droit de reproduction. Si vous souhaitez en utiliser une ou plusieurs, prendre contact avec la rédaction de Jazz-Rhone-Alpes.com)

 

Archives

Choisissez un n° ou une date ci-dessous pour voir les pages précédentes

n°679 : 04/09/2017

n°678 : 28/08/2017

n°677 : 21/08/2017

n°676 : 14/08/2017

n°675 : 07/08/2017

n°674 : 05/08/2017

n°673 : 04/08/2017

n°672 : 03/08/2017

n°671 : 02/08/2017

n°670 : 31/07/2017

n°669 : 24/07/2017

n°668 : 17/07/2017

n°667 : 10/07/2017

n°666 : 03/07/2017

n°665 : 26/06/2017

n°664 : 19/06/2017

n°663 : 12/06/2017

n°662 : 05/06/2017

n°661 : 29/05/2017

n°660 : 22/05/2017

n°659 : 15/05/2017

n°658 : 08/05/2017

n°657 : 01/05/2017

n°656 : 24/04/2017

n°655 : 17/04/2017

n°654 : 10/04/2017

n°653 : 03/04/2017

n°652 : 27/03/2017

n°651 : 20/03/2017

n°650 : 13/03/2017

n°649 : 06/03/2017

n°648 : 27/02/2017

n°647 : 20/02/2017

n°646 : 13/02/2017

n°645 : 06/02/2017

n°644 : 30/01/2017

n°643 : 23/01/2017

n°642 : 16/01/2017

n°641 : 09/01/2017

n°640 : 02/01/2017

----------
2016
----------

n°639 : 19/12/2016

n°638 : 12/12/2016

n°637 : 05/12/2016

n°636 : 28/11/2016

n°635 : 21/11/2016

n°634 : 14/11/2016

n°633 : 07/11/2016

n°632 : 31/10/2016

n°631 : 24/10/2016

n°630 : 17/10/2016

n°629 : 10/10/2016

n°628 : 03/10/2016

n°627 : 26/09/2016

n°626 : 19/09/2016

n°625 : 12/09/2016

n°624 : 05/09/2016

n°623 : 29/08/2016

n°622 : 22/08/2016

n°621 : 15/08/2016

n°620 : 08/08/2016

n°619 : 06/08/2016

n°618 : 04/08/2016

n°617 : 03/08/2016

n°616 : 01/08/2016

n°615 : 30/07/2016

n°614 : 25/07/2016

n°613 : 18/07/2016

n°612 : 11/07/2016

n°611 : 04/07/2016

n°610 : 27/06/2016

n°609 : 20/06/2016

n°608 : 13/06/2016

n°607 : 06/06/2016

n°606 : 30/05/2016

n°605 : 23/05/2016

n°604 : 16/05/2016

n°603 : 09/05/2016

n°602 : 02/05/2016

n°601 : 25/04/2016

n°600 : 18/04/2016

n°599 : 11/04/2016

n°598 : 04/04/2016

n°597 : 28/03/2016

n°596 : 21/03/2016

n°595 : 14/03/2016

n°594 : 07/03/2016

n°593 : 29/02/2016

n°592 : 22/02/2016

n°591 : 15/02/2016

n°590 : 08/02/2016

n°589 : 01/02/2016

n°588 : 25/01/2016

n°587 : 18/01/2016

n°586 : 11/01/2016

n°585 : 04/01/2016

----------
2015
----------

n°584 : 21/12/2015

n°583 : 14/12/2015

n°582 : 07/12/2015

n°581 : 30/11/2015

n°580 : 23/11/2015

n°579 : 16/11/2015

n°578 : 09/11/2015

n°577 : 02/11/2015

n°576 : 26/10/2015

n°575 : 19/10/2015

n°574 : 12/10/2015

n°573 : 05/10/2015

n°572 : 28/09/2015

n°571 : 21/09/2015

n°570 : 14/09/2015

n°569 : 07/09/2015

n°568 : 31/08/2015

n°567 : 24/08/2015

n°566 : 17/08/2015

n°565 : 10/08/2015

n°564 : 08/08/2015

n°563 : 07/08/2015

n°562 : 06/08/2015

n°561 : 05/08/2015

n°560 : 03/08/2015

n°559 : 27/07/2015

n°558 : 20/07/2015

n°557 : 13/07/2015

n°556 : 06/07/2015

n°555 : 29/06/2015

n°554 : 22/06/2015

n°553 : 15/06/2015

n°552 : 08/06/2015

n°551 : 01/06/2015

n°550 : 25/05/2015

n°549 : 18/05/2015

n°548 : 11/05/2015

n°547 : 04/05/2015

n°546 : 27/04/2015

n°545 : 20/04/2015

n°544 : 13/04/2015

n°543 : 06/04/2015

n°542 : 30/03/2015

n°541 : 23/03/2015

n°540 : 20/03/2015

n°539 : 16/03/2015

n°538 : 09/03/2015

n°537 : 02/03/2015

n°536 : 23/02/2015

n°535 : 16/02/2015

n°534 : 09/02/2015

n°533 : 02/02/2015

n°532 : 26/01/2015

n°531 : 19/01/2015

n°530 : 12/01/2015

n°529 : 05/01/2015

----------
2014
----------

n°528 : 22/12/2014

n°527 : 15/12/2014

n°526 : 08/12/2014

n°525 : 01/12/2014

n°524 : 24/11/2014

n°523 : 17/11/2014

n°522 : 10/11/2014

n°521 : 03/11/2014

n°520 : 27/10/2014

n°519 : 20/10/2014

n°518 : 13/10/2014

n°517 : 06/10/2014

n°516 : 29/09/2014

n°515 : 22/09/2014

n°514 : 15/09/2014

n°513 : 08/09/2014

n°512 : 01/09/2014

n°511 : 25/08/2014

n°510 : 18/08/2014

n°509 : 11/08/2014

n°508 : 09/08/2014

n°507 : 08/08/2014

n°506 : 07/08/2014

n°505 : 06/08/2014

n°504 : 04/08/2014

n°503 : 28/07/2014

n°502 : 21/07/2014

n°501 : 14/07/2014

n°500 : 07/07/2014

n°499 : 30/06/2014

n°498 : 23/06/2014

n°497 : 16/06/2014

n°496 : 09/06/2014

n°495 : 02/06/2014

n°494 : 26/05/2014

n°493 : 19/05/2014

n°492 : 12/05/2014

n°491 : 05/05/2014

n°490 : 28/04/2014

n°489 : 21/04/2014

n°488 : 14/04/2014

n°487 : 07/04/2014

n°486 : 31/03/2014

n°485 : 24/03/2014

n°484 : 17/03/2014

n°483 : 10/03/2014

n°482 : 03/03/2014

n°481 : 24/02/2014

n°480 : 17/02/2014

n°479 : 10/02/2014

n°478 : 03/02/2014

n°477 : 27/01/2014

n°476 : 20/01/2014

n°475 : 13/01/2014

n°474 : 06/01/2014

----------
2013
----------

n°473 : 23/12/2013

n°472 : 16/12/2013

n°471 : 09/12/2013

n°470 : 02/12/2013

n°469 : 25/11/2013

n°468 : 18/11/2013

n°467 : 11/11/2013

n°466 : 04/11/2013

n°465 : 28/10/2013

n°464 : 21/10/2013

n°463 : 14/10/2013

n°462 : 07/10/2013

n°461 : 30/09/2013

n°460 : 23/09/2013

n°459 : 16/09/2013

n°458 : 09/09/2013

n°457 : 02/09/2013

n°456 : 26/08/2013

n°455 : 19/08/2013

n°454 : 12/08/2013

n°453 : 10/08/2013

n°452 : 09/08/2013

n°451 : 08/08/2013

n°450 : 07/08/2013

n°449 : 05/08/2013

n°448 : 29/07/2013

n°447 : 22/07/2013

n°446 : 15/07/2013

n°445 : 13/07/2013

n°444 : 12/07/2013

n°443 : 11/07/2013

n°442 : 10/07/2013

n°441 : 09/07/2013

n°440 : 08/07/2013

n°439 : 07/07/2013

n°438 : 06/07/2013

n°437 : 05/07/2013

n°436 : 04/07/2013

n°435 : 03/07/2013

n°434 : 02/07/2013

n°433 : 01/07/2013

n°432 : 30/06/2013

n°431 : 29/06/2013

n°430 : 24/06/2013

n°429 : 17/06/2013

n°428 : 10/06/2013

n°427 : 03/06/2013

n°426 : 27/05/2013

n°425 : 20/05/2013

n°424 : 13/05/2013

n°423 : 06/05/2013

n°422 : 29/04/2013

n°421 : 22/04/2013

n°420 : 15/04/2013

n°419 : 08/04/2013

n°418 : 01/04/2013

n°417 : 25/03/2013

n°416 : 18/03/2013

n°415 : 11/03/2013

n°414 : 04/03/2013

n°413 : 25/02/2013

n°412 : 18/02/2013

n°411 : 11/02/2013

n°410 : 04/02/2013

n°409 : 28/01/2013

n°408 : 21/01/2013

n°407 : 14/01/2013

n°406 : 07/01/2013

----------
2012
----------

n°405 : 31/12/2012

n°404 : 24/12/2012

n°403 : 17/12/2012

n°402 : 10/12/2012

n°401 : 03/12/2012

n°400 : 26/11/2012

n°399 : 19/11/2012

n°398 : 12/11/2012

n°397 : 05/11/2012

n°396 : 29/10/2012

n°395 : 22/10/2012

n°394 : 15/10/2012

n°393 : 08/10/2012

n°392 : 01/10/2012

n°391 : 24/09/2012

n°390 : 17/09/2012

n°389 : 10/09/2012

n°388 : 03/09/2012

n°387 : 27/08/2012

n°386 : 20/08/2012

n°385 : 13/08/2012

n°384 : 06/08/2012

n°383 : 04/08/2012

n°382 : 03/08/2012

n°381 : 02/08/2012

n°380 : 01/08/2012

n°379 : 30/07/2012

n°378 : 23/07/2012

n°377 : 16/07/2012

n°376 : 13/07/2012

n°375 : 12/07/2012

n°374 : 11/07/2012

n°373 : 10/07/2012

n°372 : 09/07/2012

n°371 : 08/07/2012

n°370 : 07/07/2012

n°369 : 06/07/2012

n°368 : 05/07/2012

n°367 : 04/07/2012

n°366 : 03/07/2012

n°365 : 02/07/2012

n°364 : 01/07/2012

n°363 : 30/06/2012

n°362 : 29/06/2012

n°361 : 28/06/2012

n°360 : 25/06/2012

n°359 : 18/06/2012

n°358 : 11/06/2012

n°357 : 04/06/2012

n°356 : 28/05/2012

n°355 : 21/05/2012

n°354 : 14/05/2012

n°353 : 07/05/2012

n°352 : 30/04/2012

n°351 : 23/04/2012

n°350 : 16/04/2012

n°349 : 09/04/2012

n°348 : 02/04/2012

n°347 : 26/03/2012

n°346 : 19/03/2012

n°345 : 12/03/2012

n°344 : 05/03/2012

n°343 : 27/02/2012

n°342 : 20/02/2012

n°341 : 13/02/2012

n°340 : 06/02/2012

n°339 : 30/01/2012

n°338 : 23/01/2012

n°337 : 16/01/2012

n°336 : 09/01/2012

n°335 : 02/01/2012

----------
2011
----------

n°334 : 26/12/2011

n°333 : 19/12/2011

n°332 : 12/12/2011

n°331 : 05/12/2011

n°330 : 28/11/2011

n°329 : 21/11/2011

n°328 : 14/11/2011

n°327 : 07/11/2011

n°326 : 31/10/2011

n°325 : 24/10/2011

n°324 : 17/10/2011

n°323 : 10/10/2011

n°322 : 03/10/2011

n°321 : 26/09/2011

n°320 : 19/09/2011

n°319 : 12/09/2011

n°318 : 05/09/2011

n°317 : 29/08/2011

n°316 : 22/08/2011

n°315 : 15/08/2011

n°314 : 08/08/2011

n°313 : 06/08/2011

n°312 : 05/08/2011

n°311 : 04/08/2011

n°310 : 03/08/2011

n°309 : 02/08/2011

n°308 : 01/08/2011

n°307 : 25/07/2011

n°306 : 18/07/2011

n°305 : 13/07/2011

n°304 : 12/07/2011

n°303 : 11/07/2011

n°302 : 10/07/2011

n°301 : 09/07/2011

n°300 : 08/07/2011

n°299 : 07/07/2011

n°298 : 06/07/2011

n°297 : 05/07/2011

n°296 : 04/07/2011

n°295 : 03/07/2011

n°294 : 02/07/2011

n°293 : 01/07/2011

n°292 : 30/06/2011

n°291 : 29/06/2011

n°290 : 27/06/2011

n°289 : 20/06/2011

n°288 : 13/06/2011

n°287 : 06/06/2011

n°286 : 30/05/2011

n°285 : 23/05/2011

n°284 : 16/05/2011

n°283 : 09/05/2011

n°282 : 02/05/2011

n°281 : 25/04/2011

n°280 : 18/04/2011

n°279 : 11/04/2011

n°278 : 04/04/2011

n°277 : 28/03/2011

n°276 : 21/03/2011

n°275 : 14/03/2011

n°274 : 07/03/2011

n°273 : 28/02/2011

n°272 : 26/02/2011

n°271 : 21/02/2011

n°270 : 14/02/2011

n°269 : 07/02/2011

n°268 : 31/01/2011

n°267 : 24/01/2011

n°266 : 17/01/2011

n°265 : 10/01/2011

n°264 : 03/01/2011

----------
2010
----------

n°263 : 27/12/2010

n°262 : 20/12/2010

n°261 : 13/12/2010

n°260 : 06/12/2010

n°259 : 29/11/2010

n°258 : 22/11/2010

n°257 : 15/11/2010

n°256 : 08/11/2010

n°255 : 01/11/2010

n°254 : 25/10/2010

n°253 : 18/10/2010

n°252 : 11/10/2010

n°251 : 04/10/2010

n°250 : 27/09/2010

n°249 : 20/09/2010

n°248 : 13/09/2010

n°247 : 06/09/2010

n°246 : 30/08/2010

n°245 : 23/08/2010

n°244 : 16/08/2010

n°243 : 09/08/2010

n°242 : 07/08/2010

n°241 : 06/08/2010

n°240 : 05/08/2010

n°239 : 04/08/2010

n°238 : 03/08/2010

n°237 : 02/08/2010

n°236 : 26/07/2010

n°235 : 19/07/2010

n°234 : 12/07/2010

n°233 : 09/07/2010

n°232 : 08/07/2010

n°231 : 07/07/2010

n°230 : 06/07/2010

n°229 : 05/07/2010

n°228 : 04/07/2010

n°227 : 03/07/2010

n°226 : 02/07/2010

n°225 : 01/07/2010

n°224 : 30/06/2010

n°223 : 29/06/2010

n°222 : 28/06/2010

n°221 : 27/06/2010

n°220 : 26/06/2010

n°219 : 25/06/2010

n°218 : 21/06/2010

n°217 : 14/06/2010

n°216 : 07/06/2010

n°215 : 31/05/2010

n°214 : 24/05/2010

n°213 : 17/05/2010

n°212 : 10/05/2010

n°211 : 03/05/2010

n°210 : 26/04/2010

n°209 : 19/04/2010

n°208 : 12/04/2010

n°207 : 05/04/2010

n°206 : 29/03/2010

n°205 : 22/03/2010

n°204 : 15/03/2010

n°203 : 08/03/2010

n°202 : 01/03/2010

n°201 : 22/02/2010

n°200 : 15/02/2010

n°199 : 08/02/2010

n°198 : 01/02/2010

n°197 : 25/01/2010

n°196 : 18/01/2010

n°195 : 11/01/2010

n°194 : 04/01/2010

----------
2009
----------

n°193 : 21/12/2009

n°192 : 14/12/2009

n°191 : 07/12/2009

n°190 : 30/11/2009

n°189 : 23/11/2009

n°188 : 16/11/2009

n°187 : 09/11/2009

n°186 : 02/11/2009

n°185 : 26/10/2009

n°184 : 19/10/2009

n°183 : 12/10/2009

n°182 : 05/10/2009

n°181 : 28/09/2009

n°180 : 21/09/2009

n°179 : 14/09/2009

n°178 : 07/09/2009

n°177 : 31/08/2009

n°176 : 24/08/2009

n°175 : 17/08/2009

n°174 : 10/08/2009

n°173 : 08/08/2009

n°172 : 07/08/2009

n°171 : 06/08/2009

n°170 : 05/08/2009

n°169 : 04/08/2009

n°168 : 03/08/2009

n°167 : 27/07/2009

n°166 : 20/07/2009

n°165 : 13/07/2009

n°164 : 10/07/2009

n°163 : 09/07/2009

n°162 : 08/07/2009

n°161 : 07/07/2009

n°160 : 06/07/2009

n°159 : 05/07/2009

n°158 : 04/07/2009

n°157 : 03/07/2009

n°156 : 02/07/2009

n°155 : 01/07/2009

n°154 : 30/06/2009

n°153 : 29/06/2009

n°152 : 28/06/2009

n°151 : 27/06/2009

n°150 : 22/06/2009

n°149 : 15/06/2009

n°148 : 08/06/2009

n°147 : 01/06/2009

n°146 : 25/05/2009

n°145 : 18/05/2009

n°144 : 11/05/2009

n°143 : 04/05/2009

n°142 : 27/04/2009

n°141 : 20/04/2009

n°140 : 13/04/2009

n°139 : 06/04/2009

n°138 : 30/03/2009

n°137 : 23/03/2009

n°136 : 16/03/2009

n°135 : 09/03/2009

n°134 : 02/03/2009

n°133 : 23/02/2009

n°132 : 16/02/2009

n°131 : 09/02/2009

n°130 : 02/02/2009

n°129 : 26/01/2009

n°128 : 19/01/2009

n°127 : 12/01/2009

n°126 : 05/01/2009

----------
2008
----------

n°125 : 22/12/2008

n°124 : 15/12/2008

n°123 : 08/12/2008

n°122 : 01/12/2008

n°121 : 24/11/2008

n°120 : 17/11/2008

n°119 : 10/11/2008

n°118 : 03/11/2008

n°117 : 27/10/2008

n°116 : 20/10/2008

n°115 : 13/10/2008

n°114 : 06/10/2008

n°113 : 29/09/2008

n°112 : 22/09/2008

n°111 : 15/09/2008

n°110 : 08/09/2008

n°109 : 01/09/2008

n°108 : 25/08/2008

n°107 : 11/08/2008

n°106 : 09/08/2008

n°105 : 08/08/2008

n°104 : 07/08/2008

n°103 : 06/08/2008

n°102 : 04/08/2008

n°101 : 28/07/2008

n°100 : 21/07/2008

n°99 : 14/07/2008

n°98 : 11/07/2008

n°97 : 10/07/2008

n°96 : 09/07/2008

n°95 : 08/07/2008

n°94 : 07/07/2008

n°93 : 06/07/2008

n°92 : 05/07/2008

n°91 : 04/07/2008

n°90 : 03/07/2008

n°89 : 02/07/2008

n°88 : 01/07/2008

n°87 : 30/06/2008

n°86 : 29/06/2008

n°85 : 28/06/2008

n°84 : 26/06/2008

n°83 : 23/06/2008

n°82 : 16/06/2008

n°81 : 09/06/2008

n°80 : 02/06/2008

n°79 : 26/05/2008

n°78 : 19/05/2008

n°77 : 12/05/2008

n°76 : 05/05/2008

n°75 : 28/04/2008

n°74 : 21/04/2008

n°73 : 14/04/2008

n°72 : 07/04/2008

n°71 : 31/03/2008

n°70 : 24/03/2008

n°69 : 17/03/2008

n°68 : 10/03/2008

n°67 : 03/03/2008

n°66 : 27/02/2008

n°66 : 18/02/2008

n°65 : 11/02/2008

n°64 : 04/02/2008

n°63 : 28/01/2008

n°62 : 21/01/2008

n°61 : 14/01/2008

n°60 : 07/01/2008

----------
2007
----------

n°59 : 24/12/2007

n°58 : 17/12/2007

n°57 : 10/12/2007

n°56 : 03/12/2007

n°55 : 26/11/2007

n°54 : 19/11/2007

n°53 : 12/11/2007

n°52 : 05/11/2007

n°51 : 29/10/2007

n°50 : 25/10/2007

n°49 : 24/10/2007

n°48 : 23/10/2007

n°47 : 22/10/2007

n°46 : 19/10/2007

n°45 : 18/10/2007

n°44 : 17/10/2007

n°43 : 15/10/2007

n°42 : 14/10/2007

n°41 : 13/10/2007

n°40 : 12/10/2007

n°39 : 11/10/2007

n°38 : 10/10/2007

n°37 : 08/10/2007

n°36 : 07/10/2007

n°35 : 06/10/2007

n°34 : 05/10/2007

n°33 : 04/10/2007

n°32 : 03/10/2007

n°31 : 01/10/2007

n°30 : 16/09/2007

n°29 : 30/08/2007

n°28 : 05/08/2007

n°27 : 04/08/2007

n°26 : 03/08/2007

n°25 : 02/08/2007

n°24 : 31/07/2007

n°23 : 30/07/2007

n°22 : 29/07/2007

n°21 : 27/07/2007

n°20 : 26/07/2007

n°19 : 14/07/2007

n°18 : 13/07/2007

n°17 : 12/07/2007

n°16 : 11/07/2007

n°15 : 10/07/2007

n°14 : 09/07/2007

n°13 : 08/07/2007

n°12 : 07/07/2007

n°11 : 06/07/2007

n°10 : 05/07/2007

n°9 : 04/07/2007<

n°8 : 03/07/2007<

n°7 : 02/07/2007<

n°6 : 01/07/2007<

n°5 : 30/06/2007<

n°4 : 29/06/2007<

n°3 : 28/06/2007<

n°2 (indisponible)

n°1 (indisponible)


Mis en ligne par l'association Jazz-en-Rhone-Alpes