35ème édition Jazz à Vienne :

Ce qu'il s'est passé le lundi 6 juillet 2015

 

f-robin-110x110 Le croquis et la chronique de François Robin

 

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"Eh la fauchonne conne d'you mouloud
Lavabo trottoir mouloudji
Merde in France"

Si vous écoutiez la radio en 1984, vous vous souvenez probablement de la chanson délirante de Dutronc, une succession phonique dans un yaourt délicieusement décadent, un ovni pamphlétaire face à l'anglicisation massive de la musique française. Depuis, un certain député de Saône-et-Loire a fait lui aussi campagne pour le "made in France" en arborant fièrement une marinière sur son torse de ministre beau-gosse. Le village gaulois ne s'est jamais si bien porté. Il y a donc un cocasse paradoxe à intituler de l'anglicisme "French Touch" un concert donné par des artistes français.

En fait, l'expression "French Touch" - prononcez "teutch" - n'a, à l'origine, rien à voir avec le jazz. C'est une expression inventée en 1994 par Eric Morand, fondateur, avec le DJ Laurent Garnier du label de musique techno F Communications lors d'une déclaration à la presse : "We give a French Touch to house Music". La French Touch, c'est bel et bien la déclinaison française de la "house musique", reconnue internationalement avec des artistes comme Daft Punk.

Depuis, cette expression a fait flores, englobant tout ce qui relève de notre soi-disant exception française : l'inventivité, la technologie, l'humour, le chic, l'élégance, un certain anticonformisme vis-à-vis de la culture anglo-saxonne et par-dessus tout une gastronomie que nous continuons à croire unique. Finalement, l'idée serait surtout de mettre en exergue une des spécialités de cette fameuse gastronomie : l'art d'accommoder les sauces. Nous voici donc pleinement dans le jazz, puisque c'est la nature de cette musique que de revisiter les standards.

En 1980, c'est Astor Piazzola qui conseilla à Richard Galliano d'inventer le new musette français à l'image de son new tango argentin. Quand on sait ce que le swing de Django doit à la musette, il n'y a rien d'étonnant de retrouver l'accordéoniste dans ce projet avec le guitariste Philip Catherine et l'héritier de Stéphane Grappelli, Didier Lockwood. Cela dit, il serait plus correct de dire "jazz français" puisque l'invention de ce style, pour le coup, nous revient. Il s'agirait donc finalement plutôt d'un "toucher à la française", un mélange savoureux entre la délicatesse du phrasé de Catherine, l'expressionniste méditerranéen de Galliano et la virtuosité de Lockwood. Ces trois là s'équilibrent pour produire une couleur qui n'appartient effectivement qu'à eux, un mélange que d'autres - que des français, of course - qualifieraient d'improbable et qui pourtant fonctionne à merveille. Il faut leur reconnaître une générosité qui permet tous les risques, une capacité de prendre le relai magnifiquement, autorisant le soliste précédent à lâcher le morceau en toute confiance. Catherine introduit quelques notes subtiles qui permettent la naissance d'une nouvelle couleur. L'accordéon de Galliano s'immisce dans l'harmonie, apportant un ostinato qui n'est pas sans rappeler l'orgue de son ami Eddy. Il ne reste plus à Lockwood qu'à finir le tableau d'une de ces broderies qu'on lui connaît. Cela paraît tout simple. C'est du grand art. On peut craindre par instant que le mélange tourne au yaourt, mais l'écoute intuitive de ces trois là rend l'échec impossible.

Une sensation bien différente de celle que m'a laissée le Gil Evans Paris Workshop de Laurent Cuny. Voir les musiciens collés à la partition ne rend pas justice à l'évident travail d'invention. Pourtant il y a aussi ces passages de couleur, ces instants suspendus où l'ordre semble avoir disparu au profit d'un incertain chargé de promesses. Mais la magie n'agit pas toujours. Le trio, lui, navigue souvent à vue, avec cette indiscipline gauloise qui n'a pas que des défauts. Le french bazar reste un terreau très fertile, un "merde in France" insolent et généreux.

"Cacapoum !"

 François Robin, texte & illustrations

Voir la page Facebook de François Robin

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daniel-peyreplane-110x110 Du coin de l'œil de Daniel Peyreplane

 

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Pas d'iPhone, de tablette ou autre technologie moderne.
Un carton, des enfants,
Certains savent encore jouer avec ce que la rue leur offre ...

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Sur la scène de Cybèle

La journée commence avec le Big Band de St-Etienne

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Toujours à la recherche d'originalité, Ludovic Murat nous a composé un programme quasi exclusivement dédié à l'arrangeur et compositeur Gordon Goodwin, un monstre du big-band (il a eu un grammy awards pour ça). De ce musicien le set (trop court) nous propose Hit the ground running, Gumbo Street, That's how we roll,East coast envy, It's not polite to point et Backrow politics. Le moins que l'on puisse dire c'est que ça pulse et que c'est chatoyant aux oreilles, d'ailleur l'orchestre est bien stimulé et les cuivres  (quatre trompettes, quatre trombones et cinq sax comme il se doit) envoient du lourd et la section rythmique est obligé de suivre !

Un petit intrus dans ce programme, la composition de leur "ami" Bert Joris Alone at last qui n'a absolument pas déparé dans le paysage sonore proposé.

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Pour entamer l'après-midi, c'est Vocal in Vienne

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Le groupe aurait pu s'appeler "Vocanicule in Vienne", tellement le thermomètre était au mieux de sa forme. On regroupe ce groupe vocal habitué de la scène de Cybèle, en bons "régionaux de l'étape" il s'y produit chaque année. 

Quelques nouveautés. Tout d'abord l'arrivée d'un nouveau chanteur Christophe Donnadieu en remplacement de Jean-Luc au côtés de Frédérique Brun, Gilbert Cazalic, Sophie Grenouillet et Florence Raouane et celle du contrebassiste Christophe Lincontang qui vient renforcer la section rythmique composée de Philippe Khoury au piano et Bruno Simon à la guitare. Le groupe a sorti un CD cette année "une soirée à St-Germain" et nous en propose quelques extraits. C'est bien en place, les voix se complète bien. Un bon spectacle de jazz vocal.

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Ensuite l'association "Lettres sur Cours" nous propose un set musical et littéraire avec le Trio Gentle Marvel

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Un trio piano (Michel Bastet), flûte (Claude Jordan)et batterie dont le batteur, Claude Tabarini est aussi une fine plume. Il a publié régulièrement des chroniques dans le journal de l'AMR (fameuse école à Genève "Viva la musica" et en a fait des recueils comme "Enveloppes - Ecrits sur le jazz" (Editions Hors Limite - Genève).

Après une introduction musicale sur une composition du pianiste  Claude Tabarini s'installe au micro et commence "Steve Lacy est un idéogramme dont le Soprano est un point d'exclamation..." Il évoque aussi John Lewis, Milt Jackson, Monk, Scofield, Ellington, la Lonely Woman d'Ornette Coleman dans une prose châtiée, imagée et légèrement surannée. Ses propos sont émaillées d'un jazz délicat comme une porcelaine de Saxe, un zéphyr pour les oreilles bien aidé en cela par la flûte de Claude Jordan.

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L'après-midi se conclut sur un tout autre genre avec le quartet House of Echo

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Attention Talent ! Le pianiste Enzo Carniel est accompagné de son guitariste déjà fétiche Marc-Antoine Perrio (que l'on retrouvera au sein de l'orchestre de Laurent Cugny un peu plus tard) et de Simon Tailleu à la contrebasse et Ariel Tessier à la batterie. quatre jeune qui vont croquer le monde. Leur répertoire provient de l'album "House of echo" ou de compositions du guitariste comme Illyados qui convient bien à la chaleur ambiante. Un peu comme avec Colin Vallon la semaine précédente, le quartet nous entraine dans ses univers où la guitare très maîtrisée crée une atmosphère onirique propice à la méditation et l'intériorisation. Haiku qui commence comme une plume au piano sera le prétexte à de longues plages d'improvisation collectives complètement construites et cohérentes.

Ce quartet  est en fusion à chaque instant  nous offrant des rythmes et des intensités subtiles qui dès la première écoute génère l'addiction.

Un nouveau bijou découvert à Cybèle.

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Marcos D Project

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Dernier groupe de la soirée, le Marcos D Project, un sextet qui remplit bien la petite scène du Kiosque : aux commandes Marcos D à la voix et à la guitare et aux sourires, Bruno Delanchy aux claviers, Laurent Alex aux sax, Véronique Giniaux au violoncelle, Grégory Théveniau à la basse et  Zwemdlavim Zabsonre à la batterie et aux percussions.

Le chanteur brésilien nous délivre sa version de la bossa en mode jazz, c'est chaud, rythmé, élégant, sa bonne humeur et sa grâce comble un public qui adore ce genre de musique et fait montre d'une belle écoute


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Au théâtre Antique

Thomas Enhco en solo

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Thomas Enhco artiste résident de Jazz à Vienne cette année, après un concert solo aux musaïques et une masterclass, terminait ce soir son périple Viennois par l'ouverture, toujours en solo, de la soirée French Touch, qu'il terminera également et de belle manière avec le trio Catherine/Galliano/Lockwood à l'invitation de ce dernier.
Le concert s'ouvre par Looking For The Moose, une pièce au titre plutôt amusant, où déjà se mêle et s'entremêle le groove profond du jazz et des arrières pensées de musique classique entre romantisme et période moderne.

A suivre, The last Night Of February, qui fait semble-t-il référence à New York tel que Thomas Enhco nous en parlait avant le concert, une ville qui vous porte si vous allez bien et devient écrasante dès que l'on perd pied. C'est le passage d'une situation à l'autre que semble décrire ce morceau qui commence comme un Gospel et se termine sur une note beaucoup plus sombre.

Le troisième élément du programme, Je Voulais Te Dire, au titre relativement explicite si l'on tient compte du titre précédent, est un moment bouleversant où les sentiments sont mis à nu, le pianiste en termine très ému, et il faut quelques secondes pour qu'il se reprenne, révélant une sensibilité extrême.

Et pour se reprendre, rien de tel qu'une improvisation sur un morceau consacré, en l'occurrence l'Arabesque opus 18 de Robert Schumann, que le pianiste imagine sous les palmiers buvant des ti punchs et ce qui en découle, le tempérament de l'improvisation est adapté à la température ambiante, chaude, très chaude.

Le set se clôt sur Letting You Go, merveilleux morceau tout d'introspection d'une gravité légère (Kundera?), empreint d'une émotion profonde non dénuée de sérénité.

Thomas Enhco peut tout dire, de son piano peuvent sortir des notes brillantes, gaies, des éclats de diamant et des ombres étranges, de l'humour joyeux ou une gaieté folle mais ce qui frappe le plus, chez le compositeur comme chez l'interprète, en sus des qualités musicales artistiques et techniques, c'est l'authenticité.

Michel Mathais & photos Jazz-Rhone-Alpes.com

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Gil Evans Paris Workshop, direction Laurent Cugny

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Les amoureux du son de big band sont toujours nombreux dans nos contrées, et comme les grands mammifères dans la savane, ils s'assemblent le soir pour se repaître de leur nourriture favorite.

Hier soir Vienne ne ressemblait pas à la savane, néanmoins la température et l'humidité l'évoquaient, et les dits mammifères composaient une forte partie des gradins.

Laurent Cugny ( LC ) est un habitué des lieux et est à chaque fois très attendu. Il nous revient avec son nouveau projet, centré sur les compositions et arrangements de Gil Evans avec lequel il partageait les tournées européennes.

Arrangement, le mot important est lâché : autant les petites formations peuvent se lancer sans réfléchir à travers leurs morceaux, autant dans les big bands un arrangement bien pensé transfigure la composition, et c'est surtout de là que vient la notoriété de Gil Evans et de Laurent Cugny.

A la fois musicien et musicologue, Laurent possède tout le recul pour rendre hommage à l'existant tout en y apportant des angles nouveaux.

Le Gil Evans Paris Workshop a pour objectif de continuer à faire vivre l'univers musical multiple de Gil Evans, compositions et arrangements, mais au travers de la génération montante de jeunes talents français .
Ces jeunes musiciens, certains sous la trentaine encore, tous déjà reconnus par leurs pairs et par le public, viennent se frotter à cette discipline particulière du big band et réhaussent la palette par la variété de leurs personnalités.

Le Gil Evans Paris Workshop illustre parfaitement ce dicton qui dit qu'on fait les meilleures soupes dans les vieux chaudrons...mais avec de jeunes carottes ; tiens, comme chez les Afro-Cuban Messengers de Chucho Valdés, il n'y a que des garçons sur scène (mais nous ne sommes pas sexistes).
Laurent ne peut s'empêcher de paraître sur scène un peu le papa poule des quinze poussins qui l'entourent, même s'il s'en défend, en plus de ses rôles de pianiste et chef d'orchestre : attendrissant !

Le concert s'ouvre sur le Lilia de Milton Nascimento arrangé par Laurent, puis Liviore composé par Laurent. Ensuite, La vie facile ( LC ) et sa trompette veloutée emporte le public par la douceur de ses harmonies et mélodies.

Puis un moment d'intense plaisir, à savourer les yeux fermés : Time of the Barracudas, de Gil avec un "arrangement des arrangements de Gil" concocté par Laurent Cugny. Le morceau était destiné initialement à un fond sonore de pièce de théâtre ; on trouve effectivement toute la puissance évocatrice des grandes bandes originales de films : tension des schèmes répétitifs à base d'accords quasi-semblables, dont l'effet hypnotique accompagne si bien les scènes d'action, puis ensuite, ce solo de trompette lente, si "jazz cool"...nous reviennent en mémoire les polars en noir et blanc d'antan, et leurs travellings nocturnes sur les reflets des trottoirs mouillés....mmmmm !

Les morceaux suivants mettent en valeur de fauves envolées de Marc-Antoine Perrio à la guitare électrique ( certes c'est une "Jaguar", mais il faut le talent en plus ! ), la contrebasse puis tous les instruments à vent, chacun avec son originalité. Toujours, on admire l'ajustement au micron entre la phase écrite et la phase improvisée : c'est la magie du big band professionnel.

On termine avec un classique de chez Classics ( King Porter Stomp ) et pour rappel : ce célèbre hommage de Charlie Mingus à Lester Young : Goodbye Pork Pie Hat.

Bravo les gars ! Prochaine opportunité : le nouveau festival Jazz à Saint-Omer.

Patrick Van Denhove

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Philip Catherine / Richard Galliano / Didier Lockwood Trio

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Il y a un peu plus de trente ans (1983), Philip Catherine, Christian Escoudé et Didier Lockwood publiait un album référence du jazz hexagonal intitulé tout simplement "Trio" (vous savez cette pochette qu'on qualifierez aujourd'hui de vintage tant elle évoque une publicité pour les peintures Ripolin). En 1991 pour son premier album de jazz "New Musette" sur Label Bleu, c'était au tour de Richard Galliano de faire appel à Philip Catherine comme guitariste de son projet. En 1995 Richard Galliano invitait Didier Lockwood sur son album "Laurita" au côté de Michel Portal. Plus récemment Richard Galliano et Didier Lockwood se sont produits ensemble sur les plus grandes scènes mondiales mais sous le regard et avec le soutien d'un autre guitariste d'exception Bireli Lagréne. Pourtant à ce jour, si on peut dire que les trois musiciens se connaissent très bien et incarnent parfaitement une tradition du jazz à la française (violon, accordéon, guitare) ce trio acoustique reste totalement inédit et fait ses premiers pas sur la scène de Jazz à Vienne se promettant de le refaire ici ou là si le plaisir est au rendez-vous. Il faut dire qu'ils ont tous trois des carrières et agenda bien remplis : Richard Galliano multiplie les concerts tant dans la musique classique que le jazz notamment avec Sylvain Luc pour un hommage à Edith Piaf. Didier Lockwood tourne intensément en Europe en quartet avec le guitariste Mike Stern pour défendre le jazz fusion. Philip Catherine se produit avec son quartet habituel auquel peut s'adjoindre régulièrement l'Orchestre de Chambre de Wallonie ou selon ses disponibilités Richard Galliano. Trois musiciens qui ne se prennent pas la tête et n'ont plus rien à prouver juste à se faire plaisir et à nous communiquer leur joie de jouer comme l'indique ce propos d'avant concert de Richard Galliano qui disait "on va jouer nos compositions personnelles ; notre set liste nous allons la faire à la dernière minute pour ne pas perdre la spontanéité de notre musique".

Le concert s'ouvre effectivement sur une composition de chaque musicien : presque naturellement une valse musette pour Richard Galliano intitulée Fou Rire, bien sûr chacun y va de son chorus en profitant pour régler quelque problèmes de son ou de technique pour le violon de Didier Lockwood. On continue avec une ancienne composition du violoniste, The Kid créée sur un album du même nom en 1983. Philip Catherine y prend un chorus d'une fluidité stupéfiante comme pour signifier qu'il se sent parfaitement bien dans ce nouveau trio. C'est ensuite à Philip Catherine d'apporter sa composition : il a choisi Côté Jardin créé avec Didier Lockwood sur l'album "Trio" de 1983 dont le thème garde toute sa fraîcheur et communique ici un vrai plaisir de jouer à chaque musicien.

Le concert se poursuit en standards, blues et tango où l'on sent régulièrement le public frissonner de contentement. C'est maintenant le tour de Didier Lockwood de rester seul en scène pour une improvisation dont il conserve le secret mais toujours truffée de citations classiques et d'humour. En duo, Philip Catherine et Richard Galliano enchainent avec L'éternel désir une composition du guitariste présente sur son dernier album "New Folk" (Act 2014) occasion ici d'un dialogue riche et superbe entre accordéon et guitare.

Dans cette soirée, Richard Galliano a tenu naturellement à rendre un hommage en solo à Eddy Louis avec lequel il avait enregistré "Face to face" (Dreyfus Jazz 2001) et donné de nombreux concerts dont le dernier justement à Jazz à Vienne. Pour cet hommage il s'appuiera sur Dum ! dum ! une composition créée par Eddy Louis pour Stan Getz. Le trio se retrouve sur Vie violence le thème écrit par Richard Galliano pour Claude Nougaro ou chacun lâche son plus beau chorus apportant émotion et ovation dans un Théâtre Antique conquis qui finira complétement de chavirer pour le rappel Autumn Leaves où le jeune Thomas Enhco vient rejoindre ses aînés pour apporter la touche finale de frissons et de nostalgie.

Au final de grands moments de fraîcheur et de spontanéité par trois musiciens toujours au sommet de leur art.

 

Gérard Brunel & photos Karine Brun
 

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La galerie de photos de Jazz-Rhone-Alpes.com

Les concerts du lundi 6 juillet à Vienne


Big Band de Saint-Etienne ; Vocal in Vienne ; Trio Gentle Marvel ; House of Echo ; Marcos D Project ; Thomas Enhco ; Gil Evans Workshop - Laurent Cugny ; Trio Lockwood-Galliano-Catherine

 

(Les photos publiées ici ne sont pas libres de droit et appartiennent à leurs auteurs qui seuls peuvent vous accorder un droit de reproduction. Si vous souhaitez en utiliser une ou plusieurs, prendre contact avec la rédaction de Jazz-Rhone-Alpes.com)

 

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