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ce qu'il s'est passé le samedi 12 juillet à Vienne

f-robin-110x110 Le croquis et la prose de François Robin

 

Tom Harrell. Le voyageur des limbes.

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Comme chaque jour, et pour la dernière fois cette année, tandis que je fais la check-list de mon matériel - planche à dessin, bloc de papier Kraft, crayon noir, Posca, taille-crayon, badge - je consulte les consignes du soir pour les photographes. Cette fois, au lieu de l'habituel « Photos : OK 3 morceaux sans flash » qui ne me concerne guère sauf exception, je lis :
« Concert Tom Harrell Colors of a Dream. Photos : ok deux premiers morceaux. AVEC LA PLUS GRANDE DISCRÉTION »
J'attendais donc avec curiosité ce concert, après l'étonnante musique des Waterbabies, les deux lauréats du tremplin Rezzo Focal Jazz à Vienne 2013, riche en vocodeurs et autres subterfuges. Même si je ne connaissais rien de Tom Harrell - je suis relativement béotien en jazz -la présence de la sémillante Esperanza Spalding me laissait présager une bonne surprise. La surprise vint d'ailleurs.

Alors que sont déjà entrés les musiciens du quintet - qui à eux seuls garantissent déjà la qualité du set - une ombre s'avance vers le centre de la scène, une grande silhouette noire courbée vers le sol, surmontée d'une chevelure blanche qui masque visage et barbe, et qui semble glisser comme au ralenti, dans la brume d'un rêve. Avec une lenteur infinie, le trompettiste rejoint son pupitre, pantin gauche et monolithique, visage rivé sur ses chaussures, attendant que s'éteignent les applaudissements des connaisseurs qui saluent avec ferveur son entrée. "One, two, one-two-three... " La machine est lancée ; une formation singulière s'il en est, sans piano, avec en soutien de la batterie, deux superbes contrebassistes qui font ronfler un groove savoureux- on pense à l'irrésistible ligne de basse de Louis Johnson sur le tube Billie Jean de Mickael Jackson. Et soudain le trompettiste se réveille. Assurant d'abord avec les autres soufflants - Jallel Shaw à l'alto et Wayne Escoffery au ténor, excellents tous les deux - la troublante harmonie polyphonique du thème, il semble sortir d'un long sommeil, sa musique agissant comme un antidote à la torpeur qui le saisissait il y a quelques secondes à peine.

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C'est une musique pêchue, épique, qui fait la part belle aux harmonies subtiles et chaudes des cuivres, très efficacement rythmée. Tout en fouettant sa contrebasse, Esperanza rejoint de la voix le trio des vents, contribuant encore à la singularité de la couleur des riffs, mais c'est surtout sa présence physique, son sourire, sa fraîcheur qui me touchent. Elle semble, de l'arrière du groupe, donner vie à l'endormi, comme dotée d'un secret pouvoir qui lui permettrait de réveiller le golem. Et de la trompette de Tom Harrell, le génial schizophrène-paranoïaque, s'écoule un bop mystique. C'est comme s'il ouvrait pour nous les portes de sa nuit, une profondeur infinie qui déferle sur la scène et qu'il puise dans un ailleurs connu de lui seul. Il y a dans sa musique une incroyable fécondité, une vie qui semble bouillonner depuis la nuit des temps, qui déborde d'un jet puissant de cet étrange immobile.

Et puis, quand le morceau s'arrête, les mains retombent. La trompette est presqu'à terre, son regard rejoignant l'instrument vers un monde lointain, déconnecté de la scène. Devant lui, le public l'acclame à tout rompre. Il esquisse un sourire et s'en va de son petit pas glissé, ailleurs déjà, sans doute, ou dans cet espace de limbes ou la réalité est incertaine, l'espace flou juste avant le réveil, lorsque nous luttons pour ne pas quitter le rêve.

François Robin

voir le site de François Robin

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daniel-peyreplane-110x110 Du coin de l'œil de Daniel Peyreplane

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Sur la scène de Cybèle


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Les improvisations picturales

Chaque jour, à côté de la scène de Cybèle, deux artistes peintres se livrent à un exercice de style: ils disposent d'une toile de 80cm x 80cm. A eux de traduire avec leurs pinceaux ce qu'ils ressentent. Au total dix-huit peintres se livreront à cet  exercice durant le festival.

Pour cette dernère journée de Jazz à Vienne les eux peintres en lice étaient Chntal Manganiello et Yvonne Brayer.

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Prochaines improvisations : ... l'année prochaine ?


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Au théâtre Antique

Water Babies

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Lauréats du tremplin Rezzo Focal 2013, les "Waterbabies" ont l'immense privilège d'ouvrir la dernière soirée de cette édition 2014 de Jazz à Vienne.

Le duo de Armel Dupas au piano et Corention Rio à la batterie, a quelques minutes pour faire entrer les auditeurs dans son univers. L'exercice n'est pas évident, surtout quand on délivre une musique se cachant derrière une multitude d'effets, et une voix qui passe à travers un vocoder. Mais cette musique électro mêlée au groove, donne peut-être l'impression au public d'être assis dans un bar "lounge", plutôt que sur les rudes marches de pierre du théâtre antique, et ça, à l'heure de l'apéro, ce n'est pas désagréable !

Chistian-Cyril Cordat

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Gregory Porter

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En 2012, à Vienne, pour sa première apparition, Gregory Porter remplissait difficilement le club de minuit. En 2014, toujours à Vienne, il est ovationné aussitôt qu'il rentre sur scène par un public qui reconnait ses chansons dès l'intro, connaît les paroles et se révèle même capable de chanter avec lui. Connu dans le monde anglo-saxon depuis 2010, la notoriété de Gregory Porter grandit d'un coup en l'espace d'une année entre sa première apparition chez nous.
Gregory Porter introduit me semble-t-il avec Painted On Canvas, tellement impressionné, on en oublie de noter le premier titre, ensuite Movin', puis No Love Dying. Avec seulement trois albums à son actif, Gregory Porter pourrait se permettre de faire deux récitals différents aussi intéressants l'un que l'autre avec à chaque fois des chansons fortes, émouvantes, touchantes.

Ce soir la dominante est aux chansons du dernier album "Liquid Spirit", en plus de celles déjà citées, Hey Laura, Musical Genocide et la reprise de Lonesome Lover de Max Roach et Abbey Lincoln. Autre reprise magistrale de l'album "Be Good" le poignant Work Song de Nat Adderley.

La voix de baryton a été sculptée au gospel et à la comédie musicale et à l'écoute de Nat King Cole et Marvin Gaye. Le timbre est chaleureux, le phrasé absolument parfait et cette façon de retenir les mots parfois pour exprimer un sentiment est bouleversante. Il n'y a aucune technique apparente et rien n'est surfait. Chaque effet est justifié. Tout est au service de l'expression, une expression la plus claire possible. Gregory Porter écrit ses textes et veut qu'ils soient entendus et compris. Au milieu du concert un peu d'humour avec une reprise de Hit The Road Jack. Puis trois chansons graves profondes, Be Good, Musical Genocide et l'incontournable 1960 What.

Au rappel comme un chant d'encouragement pour ne pas nous laisser sur une note trop grave, il nous offre Free avec une conviction souriante.

C'est une grande voix du jazz qui nous est donnée avec Gregory Porter. C'est une voix splendide, dans la tradition des grands crooners, dans laquelle on perçoit bien sûr l'influence du blues, du gospel et de la soul music, mais la démarche est originale et proche de celle des grands songwriters américains.

Michel Mathais

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The Roots

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Minuit vient juste de passer quand "The Roots" prennent d'assaut la scène du Théâtre antique et l'attaque d'entrée avec un gros son rock et une grosse voix rap.

Ce groupe de hip hop nous offre un beau mélange de toutes les influences de la musique afro-américaine, avec du funk présent dans le jeu du guitariste, Captain Kirk Douglas, des passages de Jazz et de Blues surtout dans les deux claviers, Kamal Gray et James Poyser, mais aussi des sonorités Soul et Rock.
Si le chanteur, Black Thought, est un véritable rappeur qui met une ambiance de groupe Hip Hop comme il se doit, la musique du groupe n'est pas issue de platines mais bien du jeu des musiciens, ce qui montre bien que ces artistes de Philadelphie maîtrise tous les styles de la musique improvisée américaine. Et cette maîtrise, ils en font la démonstration lorsqu'ils passent d'un rythme à un autre et d'un style à un autre. Ils utilisent beaucoup de break et amènent ces variations souvent sur le contretemps.

La section rythmique composée de Questlove, à la batterie, de F. Knuckles aux percussions et de Mark Kelley à la guitare basse assure une assise solide au groupe en martelant un beat d'enfer. Tuba Gooding, Jr. (Damon Bryson) se joint à eux sur certains rythmes ou prend des solos avec son sousaphone, un instrument qui n'est pas courant dans ce genre de formation.

Black Thought, ne lâche rien et surtout pas son micro dans lequel il éructe son hip hop, l'ensemble du groupe a de l'énergie et de la puissance à revendre. Le public de l'Amphithéâtre est conquis, la nuit du jazz 2014 entre dans sa partie festive avec "The Roots". Les musiciens électrisent même l'audience avec une reprise version rap de Get Down on it de "Kool and The Gang". Ils continuent à nous démontrer leur talent et leur maîtrise des standards avec une version rock de Move On Up de Curtis Mayfield. Captain Kirk Douglas, nous met définitivement dans sa poche avec des morceaux groove sur lesquels il scatte pour s'accompagner. Il ira aussi sur le thème du blues qu'il fera évoluer sur des riffs hendrixien.

Avec cette démonstration de la maîtrise de tous les styles, "The Roots" fait évoluer le rap en le plongeant dans l'histoire de la musique américaine ; c'est sûr que ces gars-là connaissent leurs roots et les mixent très bien.

Jean-François Viaud

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Concert/Ballet Récital Mourad Merzouki

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La suite de la soirée se poursuit avec un autre art, celui de la danse, qui n'est pas courant au festival de Vienne, mais nous restons dans le thème du Hip Hop avec le ballet "Récital" du chorégraphe Mourad Merzouki. Récital est considéré comme l'œuvre majeur du chorégraphe et directeur de la compagnie Käfig.
Ce ballet donne la sensation d'un dialogue et d'un échange tout au long de la représentation, ce qui n'est pas étranger au style de la musique improvisée issue de la culture afro américaine. On ressent un équilibre entre une chorégraphie très réglée, des danseurs parfaitement coordonnés et de l'improvisation dans leurs mouvements.
Les gestes du début de Récital sont très influencés par le Hip Hop puis les danseurs expriment avec leur corps une découverte du style Classique. La communication se fait par un dialogue corporel qui emprunte des gestes dans un style contemporain pour poursuivre ce voyage à travers les genres.
La découverte du monde classique par les danseurs de Hip Hop se fait à travers des instruments. Des violons et des flûtes traversières sont découverts dans leur boîte au pied de pupitres. Les pas de danse Hip Hop évoluent ainsi que la musique et la magie s'opère dans la fusion de mondes qui semblent lointains mais qui parviennent à se rencontrer. Nous aurons apprécié les prouesses techniques des danseurs dans une expression corporelle dynamique.

Jean-François Viaud

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Hypnotic Brass Ensemble

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Le bouquet final de cette nuit du jazz 2014, démarre sur les coups de 3H00 du matin avec l'"Hypnotic Brass Ensemble", une formation qui reprend le type des fanfares à la façon des second line de la Nouvelle Orleans.

Le groupe familial originaire de Chicago distille un jeu de cuivres très funk et gorgé de groove. Les morceaux d'inspiration Jazz, Soul, Funk ou Reggae sont posés sur les fondations d'une section rythmique Funky avec Drow à la batterie, un guitariste et un bassiste.

La section de cuivres, tous sont frères, attaque les thèmes en variant les configurations. Ce sont parfois les trompettistes, Smuv, Baji, Hudah et Yoshi qui démarrent avec l'appui des trombones et du tuba. A d'autres moments les trompettistes sont en retrait pour soutenir Clef et Cid aux trombones et Rocco au tuba.
L'ensemble des six cuivres avec ces configurations variables et les reprises de thème où ils se retrouvent ensemble apportent une véritable impression de la puissance d'un Big Band. Les souffleurs prennent non seulement des solos tour à tour mais aussi le micro pour chanter et rapper. Cette fois le Hip Hop fusionne avec la fanfare. Le tubiste, Rocco entraine le groupe dans une dynamique et déchaîne la foule, encore nombreuse à cette heure tardive (ou tôt c'est selon). Torse nu, arborant ses tatouages, il commencera par prendre un bain de foule porté par le public, avant de faire monter sur scène de nombreux spectateurs pour finir cette soirée dans la fête et la danse.

Jazz à Vienne 2014 se termine sur cette note festive, on peut aller récupérer d'ici Jazz à vienne 2015.

Jean-François Viaud


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La dernière journée viennoise de Philippe Morel

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Arrivé vers 16h à Vienne je m'étais précipité vers la grande scène où je trouvais Wayne Escoffery assis dans un coin de l'avant scène, juste derrière les structures supportant les éclairages, faisant des gammes au sax ténor, au centre Esperanza Spalding et Ugona Okegwo dialoguaient au travers de leurs contrebasses respectives, Jonathan Blake était aux prises avec les balances de sa batterie. C'était là une partie du sextet de Tom Harrell, j'aurais pu rester quelques instants, peut-être que le sax alto de Jaleel Shaw et le maître de séance seraient apparu pour optimiser les retours mais je savais aussi qu'il devait y avoir des choses intéressantes sur la scène de Cybèle.

C'est toujours un peu le dilemme lorsque plusieurs événements se déroulent en même temps à quelques encablures les uns des autres, comment faire le bon choix ? Je dévale donc les escaliers pour arriver en pleine représentation de "The (very very very) BAD Trio". Le public a pris d'assaut les sièges et pourtour de la scène. Il est vrai que les musiciens ici présents ont leur public Jean Louis Almosnino à la guitare, accompagné de Adalberto Miranda qui remplace Claude Bakumada à la basse et Zaza Desiderio à la batterie délivre un jazz very very very très plaisant. Dommage pour moi car j'arrive un peu sur la fin du concert.

Les groupes s'enchaînent et le temps leur est compté laissant peu de place pour un rappel.


"Hugo Machine", formation lyonnaise aux consonances jazz hip hop électro prend rapidement la suite des opérations. Cette formation donne un peu la couleur générale du menu servi ce soir sur la grande scène. Une pointe de jazz, une pointe de rap, une musique très urbaine qui a attiré pas mal de jeunes têtes, population locale qui a priori ne fréquente pas les scènes de jazz. "Hugo Machine" c'est une affaire qui marche pas mal d'autant plus appréciable qu'à Cybèle le son est toujours de qualité avec un niveau sonore bien maîtrisé.

L'heure tourne et avant leur entrée sur la grande scène Armel Dupas et Corentin Rio, les deux musiciens de "Water Babies" donnent une courte interview pour exprimer leur grande satisfaction de pouvoir faire l'ouverture de la All Night Jazz alors qu'il y a juste un an ils faisaient leur première scène à Cybèle avec ce duo dans le cadre du concours RéZZo Focal à l'issu duquel ils ont été élus lauréat. Deux jeunes musiciens qui vont aussi remporter un vif succès lors de leur courte prestation de trente minutes. Un échange clavier batterie sur lequel, les voix traitées électroniquement des deux musiciens, nous offre un univers moderne et novateur propice à attirer un public jeune au théâtre antique.

Au milieu d'une programmation résolument tournée vers la jeune scène new-yorkaise où rap et hiphop mènent la danse, dans le tumulte urbain, comme la légèreté du calme avant la tempête "Tom Harrell quintet" ''/[NDLR: un sextet en fait] ''sera l'instant magique, cet endroit où l'on va pour se ressourcer, le jazz sans électronique, sans sur-amplification, en toute simplicité, un grand moment de quiétude. Tom Harrell qui ne peut communiquer avec le public qu'au travers de sa musique, accompagné de son quintet, nous emmène dans l'univers de grandes émotions qu'est Colors of a dream son dernier enregistrement. Un concert qui commence sur un fantastique State avec un remarquable solo de Ugona Okegwo La voix d'Esperanza accompagne le swing envoûtant de Nite Life où les deux contrebasses courent sur des jeux qui s'imbriquent l'un dans l'autre quand la frénésie du sax alto introduit la trompette avant que le thème d'ouverture ne vienne brutalement conclure. Et puis il y a ce Blues 2013 qui nous dit que malgré sa forme classique, ce jazz est d'une modernité incroyable. "Colors of a dream" est un très grand cru et sa représentation fut la cerise sur le gâteau de cette All Night Jazz.

Puissant sur le disque "Goin' out ", il en était enivrant en live au point que, dans la fosse, la jeune génération venue principalement pour la seconde partie de nuit se trémousse sur cette version live de très belle facture La plus belle émotion réside dans Family, une ballade jouée en trio, Tom Harrell entame puis se retire de scène pour laisser les deux contrebassistes échanger façon rythmique/soliste le bugle rejoignant alors les Esperanza et Ugona en fin de partie. Chaque musicien a donné le meilleur de lui-même sans à aucun moment essayer de prendre le dessus à son compte. Bien que chaudement applaudie par de nombreux aficionados, Esperanza est toujours restée en cohésion au sein de ce fabuleux sextet. Un sextet qui nous a crédités d'un rappel avant de laisser la place à Gregory Porter.

La nuit a ensuite accueilli, dans une ambiance sur-amplifiée "The Roots". Sous les coups de boutoir de décibels le théâtre s'est alors partiellement vidé. Le rap a laissé place au hip hop avec "Le récital" de Mourad Merzouki, spectacle de danse très esthétique interprété malheureusement dans une ambiance sonore assourdissante. Une nouvelle vague du public a une fois de plus quitté les lieux. Bien qu'une partie de ceux qui se trouvaient dans la fosse ait aussi pris la direction de la sortie, la jeune génération était alors majoritairement présente. L'overdose de db m'a atteint avec l'Hypnotic brass ensemble. Ce matin au réveil, chargées d'acouphène mes oreilles hurlaient de ne plus leur servir cette cuisine trop épicée à leur goût, c'est entendu j'aurais dû en rester sur la chaleur du timbre de Gregory Porter.

Philippe Morel


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La galerie de photos de Jazz-Rhone-Alpes.com

Les concerts du vendredi 12 juillet à Vienne


The Very Very BAd Trio ; Hugo Machine ; Jowee Omicil ; Waterbabies ; Tom Harrell ; Gregory Porter ; The Roots ; Mourad Merzouki Recital ; Hypnotic Brass Ensemble

 

(Les photos publiées ici ne sont pas libres de droit et appartiennent à leurs auteurs qui seuls peuvent vous accorder un droit de reproduction. Si vous souhaitez en utiliser une ou plusieurs, prendre contact avec la rédaction de Jazz-Rhone-Alpes.com)

 

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