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ce qu'il s'est passé le mardi 8 juillet à Vienne

f-robin-110x110 Le croquis et la prose de François Robin

Les frères Moutin. Cuisine et dépendance.

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Le choix d'une viande est un art, obscur pour beaucoup, surtout depuis que la boucherie de supermarché a lobotomisé au sage et insipide "tende-de-tranche" la ménagère pressée, écartant les générations futures du panthéon du bœuf : hampe, poire, araignée, merlan, onglet, morceaux dits "du boucher", confidentiels, rarement présentables, que le louchebem vous plie avec respect, en vous mettant, en loucedé, un morceau de gras "par-dessus".


C'est toute une culture du goût qui s'en va. La faute à l'urgence et à la paresse, un mode de vie qui vide aussi nos océans de ses pavés de saumon ou de thon, faisant disparaître avec les arêtes du bord de l'assiette, toute la poésie gustative des carpes, rascasses, sardines, bars, girelles et autres maquereaux. La faute aussi à l'ignorance, la lente disparition d'une éducation à l'immense richesse de la gastronomie de ménage.


Dans le bœuf, s'il est bien un morceau piégeux, c'est le jumeau. En fait, il y a deux jumeaux : le jumeau à pot-au-feu et le jumeau à bifteck. Mise à part leur position dans la carcasse - ils sont situés l'un au-dessus de l'autre - ils n'ont rien à voir. Si le jumeau à bifteck convient, comme son nom l'indique, à la cuisson rapide du bifteck, l'autre fait partie de la sainte trinité du pot-au-feu : gîte-gîte, macreuse et jumeau. Un pot-au-feu, c'est cinq heures de cuisson, et plus on le réchauffe, meilleur il est.

Pour sa soirée "french touch", Jazz à Vienne a mis les petits plats dans les grands pour un public d'avertis, amateurs de jazz pur, souvent quelque peu déçus par une programmation par ailleurs plutôt consensuelle. Hormis les stars plus populaires de la tête d'affiche - Manu Katché, Richard Bona - le grand public ignore probablement tout de ces musiciens d'excellence : les frères Moutin, Daniel Humair et Jérôme Regard, et leurs nouvelles recrues. C'est donc l'occasion pour ceux qui sont venus voir les stars de découvrir ces french monstres.
Mais en jazz aussi, la culture est affaire d'éducation, et le programmateur n'a pas choisi la facilité en commençant la soirée par le "Moutin Factory Quintet". Difficile effectivement d'entrer dans cette musique sans mode d'emploi. Pourtant, l'apport du saxo lunaire de Christophe Monniot, du poétique piano de Thomas Enhco et du phrasé inspiré de la guitare d'Emmanuel Codjia donne à la musique des deux jumeaux une couleur certaine, un relief nouveau pour leurs compositions toujours très ciselées. Mais il y a chez les deux frères une trop grande envie d'en découdre pour en rester là. Mes parents racontent comment nous jouions, petits, avec mon jumeau Emmanuel, se parlant dans une langue comprise par nous seuls et qui les laissaient perplexes. Louis et François, eux aussi, ont leur langage, et nous en sommes parfois un peu exclus. La scène, bien sûr, élargit le terrain de jeu des deux francs-tireurs et la connivence contrebasse-batterie se transforme fatalement en une chorégraphie singulière, où les guerriers volent, les flèches pleuvent, les bambous dansent, dans la promesse de la brise légère qui portera aux pieds des combattants repus un délicat pétale de cerisier.


Il faut du temps pour entrer dans leur cuisine, passer par les nécessaires étapes de l'initiation et faire confiance à la recette. Les morceaux goûteux ne se dégustent qu'après un long bouillon. Tandis que Louis frappe ses peaux comme on attendrit une entrecôte, François touille ses cordes, penché sur sa contrebasse comme un cuisinier sur la marmite. Le fumet du jumeau est déjà là. Pour déguster, il faut être patient.

François Robin

voir le site de François Robin

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daniel-peyreplane-110x110 Du coin de l'œil de Daniel Peyreplane

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Mais oui, vous connaissez son cousin ! le grand fabricant de Oud ...

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Sur la scène de Cybèle


Le Big Band du conservatoire de St-Priest

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Thierry Seneau est un cumulard, après le Big Band Junior du CRR de Lyon, après sa participation au pupitre de trompettes du Amazing Keystone Big Band, le voilà à la tête de la nouvelle formation du conservatoire de St-Priest. Un nouveau projet, tout frais.

Au menu des tubes comme Thieves in the Temple, On Broadway où la voix est celle d'Eolia, un tonitruant Ain't no other man de Christina Aguilera où Shéérazade fait des merveilles à la voix. Et oui ce big band se paie le luxe d'avoir deux chanteuses.

Cette formation nous tiendra en haleine pendant tout le set avec des titres immédiatement identifiables comme Thriller (arrangé par un certain "Mister Q"), Skyfall (d'Adèle) ou encore Don't know why (de Nora Jones).

Pour un début ce fut un beau début.

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Louis-Ferdinand Céline, voyage en fond de contrebasse

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Dans "voyage en fond de contrebasse", Sture Dahlström, romancier contemporain suédois et musicien de jazz, ne manque ni d'humour, ni d'imagination. Son héros, jeune intellectuel qui se cherche, est passé maître dans l'art de la musique et du sexe, mais il est tenaillé par la littérature. Sa rencontre avec l'œuvre de Louis-Ferdinand Céline va bouleverser sa vie au point de vouloir coûte que coûte rencontrer l'auteur. Exilé au Danemark, fuyant les renseignements généraux français, celui ci va pouvoir rejoindre la clandestinité caché dans la contrebasse du héros comme "un fœtus dans le bois de sa matrice acoustique". Arrivé en Suède, il devra garder cette cachette à maintes reprises, même pendant les concerts. En échange, Céline lui enseignera l'art d'écrire.

L'artiste Guy Abgrall, dans une diction parfaite, nous livre un texte truculent avec beaucoup d'émotions, de fraîcheur et d'humour. Avec lui, deux musiciens, Christofer Bjurström, au piano et Mickaël Seznec à la contrebasse racontent à leur manière cet épisode héroïque. Ils accompagnent le récitant, portent le texte, prennent leur envol dans des improvisations qui nous font digérer nos émotions. La mélodie est omniprésente. Parfois ça frotte, ça grince et on ressent le vertige du héros, ses atermoiements. Le tout forme un spectacle jouissif, harmonieux, sensible et drôle où texte et musique trouvent naturellement leur place et se fécondent l'un l'autre.

La grande question de ce texte, s'il y en a une, c'est la complexité (cette "difficultuosité") à écrire et à rendre compte des émotions. Sture Dahlström a un rapport amoureux aux mots, à la langue et nous donne une belle leçon, dans le sens où ses personnages, héros libres et libertaires, se débattant avec leurs problèmes existentiels, sont plus vrais que nature.

Dès la création du festival, la première équipe de Jazz à Vienne avait compris l'intérêt de ces moments où littérature et jazz, littérature et improvisation se rejoignent. Les deux arts sont mêlés et se nourrissent de leurs propres errances. Un musicien de jazz sans images et représentations serait aussi sec qu'un désert de pierres. Et réciproquement un poète ne pourrait se passer de la musique des mots. Ces rencontres doivent se poursuivre, pour notre plus grand bonheur.

Laurent Brun

(Guy Abgrall : lecture, Christofer Bjurström : composition et piano, Mickaël Seznec : contrebasse)

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Sky Readers, Eric Teruel

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Alors qu'un arc-en-ciel se campe sur Pipet, la musique d'Eric Teruel injecte sa dose de magie et nous ensorcelle. Une musique aux accents andalous vient nous surprendre, encore sous le coup d'une averse anesthésiante. D'entrée de jeu, on est captivé par le son de la flûte mêlé à celle de l'oud, un son puissant qui nous transporte dans un orient réinventé. Le groupe délivre une musique subtile, accomplie, qui va jusqu'au bout du voyage. L'oud joue les contrepoints, parfois prend le chant, un chant plaintif, charriant une tradition d'émotions. Il embarque le groupe et l'oblige à se donner.

Eric Teruel soigne la composition. La flûte apporte la voix, indispensable, la batterie et la contrebasse la puissance, l'oud le souffle, le piano la part au jazz et à l'improvisation. Eric Teruel tient dans ses mains l'ensemble, il est le socle, le groove, l'harmonie, la relance parfaite. Le ciel retrouvé, la musique monte en puissance et sa chaleur atteint définitivement nos cœurs et nos corps. Chaque musicien se livre complètement et la danse se mue en transe. Un petit temps court et méditatif au milieu de cette transe et tout s'achève dans une apothéose de rythmes et de mélodies, un unisson, une victoire sur la morosité et l'ennui.

Je souhaite à ce groupe un aussi bon voyage que celui qu'il nous fait vivre.

Laurent Brun

(Éric Teruel : piano, Joce Mienniel: flûtes Mohamed Abozekry :oud, Patrick Maradan: contrebasse, Antony Gatta : batterie)

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Un petit bonus de l'ami François Robin

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Honey Jungle

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Dernier groupe de cette longue journée à Cybèle, le "Honey Jungle". Un trio bien soudé avec trois ans d'existence au compteur. Trois solides musiciens : Camille Mouton au piano, Francis Decroix à la contrebasse et Jérémy Magand à la batterie. Ils nous offrent leurs compositions. Un jazz frais et inventif qui évite les répétitions trop courantes de nos jours. On reprendrait bien une tranche de leur Cake et on se dit que la Léonie de la Song qui lui est dédiée est bien chanceuse.

Encore une fois la scène de Cybèle aura tenu ses promesses en nous maintenant en haleine jusqu'au bout de la journée.


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Au théâtre Antique : la soirée French Touch de la Spedidam

Moutin Factory Quintet

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Les jumeaux du Jazz, François (contrebasse) et Louis (batterie) Moutin, ont pas mal bourlingué ensemble ou séparément, de part et d'autre de l'Atlantique en accompagnant entre autres Martial Solal, Jean Michel Pilq, Jean Marie Machado et Tigran Hamasyan... . Depuis 2013 ils semblent avoir mis entre parenthèses leur "Moutin Réunion" pour démarrer un séduisant nouveau projet le "Moutin Factory Quintet" pour lequel ils sont allés chercher de jeunes loups de la scène jazz aux profils très diversifiés : le tout frais pianiste déjà reconnu Victoire du Jazz 2013 Thomas Enhco, le brillant et incisif guitariste Manu Codjia et le toujours libéré saxophoniste Stéphane Monniot.

Fin 2013, le quintet a sorti un remarqué premier album "Lucky People" (Plus Loin Music) et c'est justement avec ce titre composé par Louis Moutin que s'ouvre le concert de ce soir. Derrière la rythmique implacable et toujours puissante des jumeaux, il faut des musiciens qui osent se lâcher et ici pas de soucis : Manu Codjia est tout de suite très inspiré dans le style électrique, affuté et parsemé d'effets qui le caractérise ; Christophe Monniot occupe le devant de la scène et mêle puissance et douceur en alternant saxophone alto et sopranino ; Thomas Enhco un peu en retrait sur le premier morceau lâche sur le deuxième Dragonfly un superbe chorus aussi classique que poétique.

Pour rendre hommage à Ornette Coleman, les jumeaux restent seuls en duo révélant tout leur savoir-faire et complicité sur leurs instruments respectifs : François fait corps avec sa contrebasse en ne quittant pas Louis des yeux qui alterne mains, baguette et balais sur sa batterie. Avec Forgiveness une balade composée par François, le concert retrouve une certaine sérénité avec un piano lyrique à souhait de Thomas Enhco et un bel enchainement de Christophe Monniot au sax alto.

Dans la partie finale l'énergie reprendra vite ses droits derrière la puissance soudée des jumeaux, permettant même à Christophe Monniot de se mettre en mode free pendant que Manu Codjia multiplie les effets autour de ses riffs ravageurs. Décidément ce quintet affiche autant d'énergie que de créativité et vu le potentiel de talents réunis ils sont promis à un bel avenir.

Un apéritif déjà consistant pour cette soirée French Touch (avec le soutien de la SPEDIDAM) qui n'en finira pas de nous réserver d'autres belles surprises au fur et à mesure de son avancement.


Gérard Brunel

Voir la vidéo du concert

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Daniel Humair Quartet

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Ce n'est pas la finesse qui fait défaut à ces musiciens d'excellence qui entament le concert avec charme et douceur. Avec Daniel Humair, on suppose qu'il sera question de cuisine, de mets, d'ingrédients subtilement choisis et dosés, ou alors de couleurs, de peintures, d'atmosphères et d'énergie délivrée. Et tout au long de cette soirée je ne serai pas déçu. Le son du soprano attaquant les notes en dessous me porte dès les premières mesures. Daniel Humair paraît sûr de lui, droit, direct, tout à l'écoute. La musique déroule ses différents tableaux en une histoire qui a du style, de l'éclat, de la saveur, du présent délectable.

Le deuxième thème rappelle le groupe "Moutin Factory Quintet", qui a fait l'ouverture de la soirée. Il y a un lien de famille entre ces deux groupes. La veine artistique est la même, et les musiciens se connaissent et croisent régulièrement leurs univers. Encore sous le coup du concert précédent, on est amené naturellement à la comparaison. La rythmique, avec Jérôme Regard à la contrebasse, est solide dans les deux cas, l'assise semblable et la maîtrise du jeu fait plaisir à entendre. Les saxophonistes se ressemblent et ont des postures communes, une position de boxeur, de frondeur. Petit à petit, la musique d'Humair prend sa place. L'accordéon a des accents pianistiques. Vincent Peirani, que je découvre pour la première fois, a un jeu très original. Avec Emile Parisien, ils se connaissent sur le bout des doigts. Les sonorités se fondent et le dialogue entre eux devient passionnant.

Les quatre artistes soignent le son, le travail de composition atteint sa plénitude. Les musiciens ont de la suite dans les idées, développent et déploient leur langage commun. Chaque musicien prend sa part d'improvisation. Je reviens un temps à la comparaison et me dis que ce qui différencie les deux groupes c'est dans l'approche de la composition et du traitement du son plus élaboré pour ce concert chez Humair, un quelque chose de moins conventionnel. Le concert continue avec une suite qui rappelle le travail avec Texier et Sclavis. La musique prend son temps. On est sur un autre temps, comme dans une fête joyeuse entre amis. La musique ne manque pas également d'énergie. Le soprano danse, relance, surnage, flotte, surfe sur l'harmonie. L'accordéon est à la fois véloce, plein de retenue, dense. Le dernier morceau rejoint le final de Gauthier Toux (jeune pianiste fougueux aperçu à Vienne le 3 juillet), tout en subtilité, dans un geste minimaliste.

Le rappel relance la machine pour un jazz plus free. Chacun se lâche, à cœur ouvert, jouant deux contre deux, deux à deux, quatre à quatre, ça file à tombeau ouvert. Un concert exceptionnel, de la bonne cuisine, une peinture moderne qui laisse la place à toutes les interprétations, qui laisse de la liberté à l'auditeur.

Laurent Brun

(Daniel Humair : batterie, Emile Parisien: saxo soprano, Vincent Peirani : accordéon, Jérôme Regard : contrebasse)

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Manu Katché et son "all stars"

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Soirée All Stars ce mardi à Vienne, avec trois grands noms du jazz, Richard Bona, Stefano Di Battista, Eric Legnini, associés à Manu Katché, star de de la pop world internationale qui s'intéresse beaucoup au jazz. Comme nous avons pu le constater à Vienne, depuis quelques années, son jeu se rapproche de plus en plus d'un jeu de batterie authentiquement jazz.

La rencontre est plus qu'intéressante et le résultat dépasse les attentes d'un public qui n'en demandait pas tant pour s'enthousiasmer. Le répertoire est un savant mélange de titres des quatre protagonistes. La disposition des musiciens, de gauche à droite, Manu Katché, Richard Bona, Stefano Di Battista, Eric Legnini, est, nous a-t-il semblé, révélatrice du fonctionnement musical du groupe. Beaucoup de choses se passent en effet au niveau de la charnière centrale, entre Richard Bona et Stefano Di Battista, la communication entre eux est évidente, le bassiste offrant au saxophoniste un lit de roses pour développer les thèmes. Le résultat est particulièrement attrayant pour un public qui ne boude pas son plaisir. En plus de son jeu virtuose, Richard Bona nous offrira deux titres, dont le second d'Eric Legnini. Celui-ci, plein d'abnégation lorsqu'il accompagne, enflamme l'auditoire dès qu'il se retrouve leader sur ses propres compositions.

Ce super groupe né il y a deux ans à Marciac pour un soir, s'est reconstitué cette année pour tourner dans les grands festivals de jazz européens et mondiaux. Gageons, comme le souhaite vivement Manu Katché, qu'après cette tournée, nous pourrons disposer d'une trace quelconque de cette aventure pour le moins séduisante.


Michel Mathais


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Au Club de Minuit

Winston McAnuff et Fixi

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Soirée très attendue par un public peu habitué au Théâtre de Vienne. Beaucoup de dreads et de (post) baba-cools pour voir "en vrai" la formation qui a fait un carton cet hiver, le "vieux" rastaman Winston McAnuff qui fait une seconde carrière en France et le jeune accordéoniste et arrangeur Fixi. Ce dernier a composé un ensemble de morceaux qui collent parfaitement à la voix rauque et à la gestuelle du jamaïcain. Sans oublier Markus qui fait un gros boulot derrière au beat-boxing et aux effets.

Le parterre est noir de monde, exit la formule cabaret, ça danse comme dans un bon club de reggae, il ne manque que l'odeur de la beuh. Le style oscille entre reggae, new-tango, techno et funk. Un mélange "world" à souhait très bien servi par la présence de Winston qui galvanise son monde.

Un concert qui a toute sa place dans la programmation éclectique du Club de Minuit.

Pascal Derathé

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Au JazzMix

Spleen and the black and white skins feat. Heezbus & Jono McCleery

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Une belle soirée branchée en perspective, comme sait nous les concocter Reza Ackbaraly, le programmateur attitré du lieu. Ce concert de Spleen est plein de promesses avec entre autre la reformation de son groupe "Heezbus". Las ! Le concert débute très calmement faute de combattants dans la salle, ils sont encore au Théâtre Antique ou au Club qui vient de commencer. Qu'importe en bon pro de la scène Spleen dit à ses musiciens "on va aller les chercher" et il met tout en œuvre pour y parvenir et la mayonnaise prend. Le public arrive par petites poignées et le show peut continuer dans de meilleures conditions. Hugh Coltman est ravi d'être là et sort la guitare.Le concert gagne en intensité et se finira par un bœuf bien mitonné (décidément on parle beaucoup de cuisine ce jour) où interviendront les artistes descendus du Théâtre Antique.

Pascal Derathé

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La galerie de photos de Jazz-Rhone-Alpes.com

Les concerts du lundi 7 juillet à Vienne


Big Band du conservatoire de St-Priest ; Lettres sur cour ; Univesity ofKansas Jazz Ensemble ; Intermed ; Honey Jungle ; Moutin Factory Project ; Daniel Humair "project" ; Manu Katché and friends ; Winston McAnuff ; Spleen.

 

(Les photos publiées ici ne sont pas libres de droit et appartiennent à leurs auteurs qui seuls peuvent vous accorder un droit de reproduction. Si vous souhaitez en utiliser une ou plusieurs, prendre contact avec la rédaction de Jazz-Rhone-Alpes.com)

 

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